Arrivée clandestine

La pleine lune éclaire la mer de son éclat froid. Un bâteau de fortune passe par là. Cinq personnes tassé attendent. Encapuchoné, moi aussi j'attends. Celui à la tête du bâteau c'est le passeur. Pour une somme gourmande, il me conduit au pays de la liberté, l'Amérique. Mais moi j'y crois pas trop au rêve américain. Pour briser le silence, mon voisin me demande en Anglais:

"- Tu l'a appris où ton anglais, y'en a pas beaucoup de Roskov qui parle l'anglais."

Je le regarde de travers. Son visage, sa façon de parler, les expressions de son visage m'indique qu'il est Ukrainien. Vu sa figure on se demande même si il est pas de Tchernobyl.

"-Je t'en pose des questions moi?"

Voilà, la discussion est close. Ma vie est ma vie, il n'a pas à le savoir. La terre s'approche la passeur nous dit de ne pas faire de bruit, il faut débarquer sans un bruit. La barque heurte le sable. Les trois autres passagers descendent vite fait bien fait. Je m'attarde un peu et remercie passeur. Il me serre la min, il est tombé dans le piège. Je serre sa main, pendant sept secondes. Il essaie de la retirer mais ma poigne es tplus puissante. Il se tient le ventre. Je le lache. Il tombe à genoux et crache du sang par terre. J'attends. De son nez, du sang coule abondamment. Il met la main contre un oeil. Celui-ci explose. Bientôt il sera mort. Il veut crier mais ses cordes vocales se sont briser. Il se tortille, ses os se brisent. Encore quelques secondes. Sa peau le démange, il se gratte et la peau part sans effort. Il est allongé par terre, il rend son dernier souffle. Je me baisse et prend les sous qu'il a. Heuresement qu'il nous a obligé de payer en Dollars. Je compte, vingt mille par tête, il y a 80 mille dollars. Le compte est bon. Je m'en vais le laissant au corbeau.

Sans aucun remords, je continue ma route. Je marche dans la rue, les étoiles et mes pensées pour seuls compagnie. Je suis en Amérique, c'est fait. J'ai echappé à la police, à la mafia Russe. Et après?

Dans la maison un bruit résonne. Une vieille marche, aidé de sa canne, son unique aide en ce bas monde. Elle se laisse tomber lourdement sur le fauteuil marron. Elle prend en main la télécommande. Elle l'allume et zappe sur la première chaîne. Flash info. Le célébre animateur, dont la voix est couverte par les sirènes de police peine à se faire écouter et comprendre. Pour qu'on l'entende il est obligé de crier. Un homme encapuchonné marche droit face à lui. Des traces rouges souillent sa longue veste noir. La police armées le met en joue, ils lui ordonnent de se montrer. L'homme découvre son visage; Stupéfaction.



Je souris. En face, ils voient que je n'ai aucun remords d'avoir tuer deux de leurs collègues. Les trois hommes qui me font face reste interdit face à mon apparence. Une faille, je m'y engouffre. Je cours vers eux. Je pose un pied sur le capot de leur voiture et m'envole deux mètres au dessus du bitume. N'ayant pas le temps d'user de mon pouvoir, j'attaque comme à l'ancienne. Du tranchant de la main, je frappe un policier à la gorge. Je récupère son fusil à pompe et frappe le second flics avec. Le premier flic s'effrondre contre le sol. Je prends l'arme en main et tire à bout portant sur mon adversaire. Le deuxième flic tombe. Le sang du troisième m'éclabousse copieusement. Je lèche le sang autour de ma bouche tandis que son propriétaire tombe deux mètres plus loin. Le premier policier s'est relevé, par dérrière il veut m'étrangler. Il resserre son étreinte autour de mon cou. Tant mieux. Je touche un de ses bras, sept secondes plus tard, sa main se tord. J'entends ses os qui se brisent. Je sens ses yeux qui explosent. Il tombe.
Je me remets à courir. On me mets en joue, j'entends le déclic de l'arme. La balle s'élance vers mon coeur. Un réflexe inespéré me sauve. La balle touche mon épaule. Je tombe parterre mais je n'ai pas le temps d'avoir mal. Il faut que je parte. Je m'apprete a tourner à ma cauche quand une voiture d epolicier me heurtent. Me projetant au pied d'un mur cinq mètres plus loin. Je snes mes poignets se faire emprisonner. On me menottes. Du bout des doigts je touche le policier. Il ne le sens même pas. Mais sept secondes plus tard, il n'est plus là. Mes mains emprisonner dans mon dos, je donne un coup de tête à un flic dont le nez se brisa dans un bruit de bois sec. Une matraque m'assomme. Je me suis battu. J'ai perdu avec hinneur, la tête haute.



"-Le fugitif crie le reporter, boureau de six policiers, père de famille pour la plupart, a été interpellés. Il est immédiatemment trensférés à Alcatraz où il séjournera longtemps à tout parier. Là bas il"

Zap. L'écran devient noir. La vieille femme sirote un thé n'écoutant que le chant de oiseaux.
Pourquoi s'embarasser avec des histoires qui ne nous concernent pas.



Il fallait s'en douter. Me voilà dérrière les bareaux. Je touche mon épaules, des médecins m'ont fait un bandages. Je m'allonge en attendant une faille dans laquelle je m'engouffrerais.

h;j si quelqu'un pourrait aller me chercher se serait sympa

Un jour passa. La prison me gave. Tpus les prisonniers se prennent pour des mauvais alors qu'ils n'ont commis qu'un ou deux crimes, un vol. Ils n'ont que peu de sang sur les mains pourtant cela les hante. C'est facile à lire dans leurs yeux. Ici, je suis le seul qui ai gardé ses vieux habits. Deux gardes y sont passé. Ils ont trouvé ça convaincant comme argument. A mon arrivée, certains ont cru marrant de m'appeler le clown russe. J'ai lavé leurs insultes dans leurs propres sang. Deux ou trois d eplus, ça ne fait plus de différence. Maintenant, on me respecte là bas. Mais ça ne me dis pas. Je vais sortir d'ici. Je vais voir un taulard au cheveux long. Il est homo et pédophile, plusieurs viols su rmineurs. Je lui prends son épingle à cheveux qu'il me laisse sans s'opposer à moi. Lavettes. Fini le repas. Je retournai dans ma cellule. J'enfonce l'épingle à cheveux dans la serrure. Clic



Un visage tout tatoué de rouge et noir est affiché sur l'écran de télévision. Une vois douce et féminine dit de manière sobre et rassurante.

"Un prisonnier s'est echappé de la prison locale. Si vous l'apercevez signalez le nous. Mais ne vous inquiétez pas, les forces de l'ordre ont le contrôle de la situation."

Mensonge.



Je marche sur la plage, liberté retrouvée. Que me réserve l'avenir?