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| Hotel San Carlos | |
| | Auteur | Message |
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Lucy Tsukyno
Nombre de messages : 39 Age : 34 Profession : Aimerait devenir...Tueuse Professionnelle... Pouvoir(s) : 4 bras quasi invisible qui peuvent couper comme des lames de rasoir/protégé comme une vitre parballe Date d'inscription : 31/01/2007
| Sujet: Hotel San Carlos Dim 4 Fév - 21:17 | |
| La petite Lucy avait jeter un dernier regard vers l'homme aux accusation. Ainsi, elle avait tuer cet homme et personne ne se doutait que la coupable de ce décès était cette enfant aux allures de poupée. Observant Nobuo, elle lui avait encore souris, elle ne souriait que pour lui. Elle regardait alors les differentes teinte que prenait le visage de son ange gardien face à l'éclairage coloré de son téléphone portable, c'était amusant et puis, ça passait le temps aussi.
Ayant envie de boire quelque chose, elle avait détectée la présence d'un distributeur de boisson, sa petite main dans celle de Nobuo. Elle l'emmenait jusqu'au distributeur, choississant sous l'oeil amusé de Nobuo, une canette de jus d'orange pour étancher sa soif.
Un petit bruit se fit entendre, elle venait d'ouvrir la canette en question, se tournant vers Nobuo, elle écoutait ce qui se passait. N'ayant rien d'autre a faire qu'a attendre la fin de la discussion.
Elle entend vaguement une voix provenant du téléphone.
"Vous savez, maintenant, c'est Monsieur Ryuuku..."
C'est vrai...Son père était américain...
"Ce n'est rien, Monsieur Zikaroff. C'est juste de mauvais souvenirs..."
Au clin d'oeil de son ami, la jeune fille souriait, tenant la canette dans ses deux mains. Sa bouche posé sur le métal froid du contenant de jus d'orange, continuant d'écouter les réponses de Nobuo.
Elle n'arrivait pas à savoir exactement ce que disait le dit Monsieur Zikaroff mais elle pouvait au moins suivre les réponses de son ange gardien.
De la malice traversa son regard à la vue du fabuleux sourir que Nobu-sensei venait de faire.
"Et bien... Je vient d'arriver à New York pour... hem... affaires! Et..."
Il ne mentait pas vraiment, ils étaient réellement présent pour affaire...C'est juste que c'était leur affaire à eux deux...
"Hem... C'est que... J'esperais juste que vous m'insiquiez un endroit calme et... hem... pas trop expansif. Vous savez, depuis la mort de mon père"
Elle entendait malgré tout les paroles de Nobuo, même si il avait diminuer le son de sa voix
"Les affaires ne vont plus aussi bien qu'avant..."
En pleine admiration, elle était fan de cette manière dont Nobuo avait de manipuler les gens à leur guise. Cette façon de pouvoir attiré sur lui un regard compatissant malgré toute les saloperies qu'il puisse faire.
"Bien, selon vos désirs... Je vous revaudrez ca..."
Voilà, ils avaient un toit pour dormir maintenant, un toit et de la nourriture...
A cette réponse, Lucy était curieuse de savoir si elle pourrait se procurer un bon chocolat chaud, la réponse positive la fit sourire de plus belle et un petite exclamation tout à faire enfantine se fit entendre:
"Super"
Terminant la canette de jus d'orange, la discution semblait se finir.
"Ca ira, je m'en souviens toujours... A tout de suite, donc."
Et il raccrochat.
"Nobu-San, tu es le plus fort"
Dit-elle en le laissant s'assoir à ses côté, souriant aussi à la jeune femme qui passait. Elle semblait croire que Lucy était peut-être la fille de Nobuo, pourtant, leur âge aurait plutôt donné une relation frère-soeur...Elle tourna la tête vers Nobu-sempai souhaitant lui dire quelque chose mais il la coupa.
"Allez, Lucy-chan... On va aller nous installer! On va prendre un taxi"
De toute manière, ce qu'elle avait a dire n'était pas important, elle allait simplement lui demander de jeter sa canette dans la poubelle qui se trouvait juste à ses côtés. Haussant les épaules, elle se leva et jeta elle-même le détritus, suivant ensuite Nobuo jusqu'au Taxi. Il lui ouvrit la porte, elle entra dans la voiture, leur bagage furent mis dans le coffre et Nobuo la rejoingni sur la banquette.
"Bonjour Monsieurs !"
Lucy n'était pas d'humeur à rester calme après le voyage en avion. Observant l'homme, il avait sourit...C'était presque hypocrite, après tout, il était très tôt et ce chauffeur devait certainement penser à son lit.
La voiture démarra et Lucy était déjà presque le visage coller à la vitre, observant sur l'autoroute le nombre de voiture déjà présente.
"Tu as vu tous ce monde Nobu-San !"
Elle faisait sonner sa voit dans un émerveillement alors que dans le font, ses pensées se situaient plus entre le dégout et l'espoir que la plus part soit des personnes comme Nobuo et elle. Et qu'elle ne fut pas l'erreur du chauffeur quand il demanda par politesse:
Vous venez du Japon ?
Elle sourit, s'installant millieu de la banquette pour parler au chauffeur.
"Oui ! On vient du Japon, j'habitais avec Nobu-Sensei la-bas ! Oh vous savez, y a presque autant de monde qu'ici, peut-être même plus, ou alors y en a moins mais la ville est tellement plus petite qu'ici que sa donne l'impression qu'il y en a plus... Enfin, vous savez, le japon c'est pas aussi bien qu'on croit, y a beaucoup de truc pour s'amuser mais quand même, c'est un pays comme un autre quoi..."
Et voilà, Lucy était en mode non-stop, elle ne s'arrêterait pas de parler de tout et de rien, passant de la gastronomie japonaise à la technologie, ainsi, elle passait son temps et évitait d'en perdre. Elle se tournait parfois vers Nobuo, un sourire malicieux qui voulait tout dire était gravé sur les lèvres de la jeune fille...
Le chauffeur annonça:
Nous sommes arrivé
Presque pris d'une peur soudaine en voyant le monde dehors à cet heure ci, la demoiselle attrappa la main de Nobuo, murmurant pour elle-même.
"Me laisse pas" | |
| | | Nobuo Ryuuku
Nombre de messages : 23 Age : 37 Localisation : hotel San Carlos(NYC)/Square Garden(LONDRES) Profession : Ex-Malfrat Pouvoir(s) : Vision Eye, Controle des ombres, psychométrie Date d'inscription : 31/01/2007
| Sujet: Re: Hotel San Carlos Dim 4 Fév - 22:43 | |
| A la remarque que Lucy-kun avait laissé, Nobuo ne pouvait que sourire à nouveau... Que dire? Mentir et feindre l'ignorance? 'Mais non, c'est pas vrai, je suis pas si doué que ca...'? Non, à vrai dire, il ne pouvait dire qu'une chose... 'Oui, c'est vrai...' Mais il n'arrive pas à être comme ca avec Lucy. Rien à faire... Elle était la seule avec qui il restait lui-même, sans en rajouter. Il la regarda jeter ses détritus. Il était heureux... Pourquoi avait-il l'iumpression que les mutants prenaient plus soin de la planète que les humains? Il avait toujours cette impression que l'humain typique aurait laissé sa canette là, se disant qu'une autre personne ferait le déplacement à sa place... Ou alors, il se serait balladé, sirotant sa canette, qui n'était plus du jus d'orange mais de la bière, et finissant par la jeter dans le premier buisson venu... Et, à peine arrivé dans le taxi, il vit l'apparition auquel il venait de penser... L'humain moyen... typique... Celui qui n'aurait pas jeter sa canette... Cependant, ce même homme allait les conduire à leur hotel. Il fallait donc le laisser en paix. Une dure labeur... Il le laissa donc en vie, un de plus... Mais il ne put rien dire de plus que l'adresse... Il laissa parler la jeune fille qui l'accompagnait. Avait-elle l'air si jeune que cela? Et lui si vieux? Il avait lu dans le regard de la femme, derrière la compassion, un intérêt pour lui. Il en avait déduit qu'elle avait beaucoup apprécié la façons dont Nobuo avait défendu ce qu'elle pensait être sa fille... Il est vrai que c'est quelque chose de recherché chez les humains... Mais avait-il l'air si agé que celà? Elle était pourtant sa soeur... Lucy ramena son attention à elle, pas difficile... De quoi parlait-elle? *Mais, évidemment, Lucy qu'ils connaissent les sushis...*Cela le fit sourire... Son innocence... Il ne l'avait pas quitter des yeux une seconde. Arrivé, il sorti du taxi jaune et garda la porte ouverte pour cette Princesse d'Orient. Il mis la main au porte-feuille mais à cet instant, il sentit un légers tapotement sur son épaule: un portier... Rouge, à l'ancienne, la casquette sans penne. Tout du parfait petit hotel ... Il espérait que ce "minimum de luxe" plut à Lucy. Laissez... Monsieur Zikaroff m'envoie régler cette noteHA, ca! S'il s'attendait... Son astuce avait mieux fonctionner que jamais. Son défunt père devait avoir fait beaucoup pour cet homme. Le méritait-il? Il se tourna, tendit la main vers Lucy et s'avance, passant sous la banderole nommant l'Hotel. Les portes s'ouvrirent d'elles-même à leur arrivé, poussée par le deuxième portier. Et ils entrèrent dans le luxueux hall. Haaa.... Monsieur Wil... Ryuuku... Bienvenu!!*Ouf... Je suis encore assez jeune pour qu'il me reconnaisse* | |
| | | Lucy Tsukyno
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| Sujet: Re: Hotel San Carlos Dim 4 Fév - 23:34 | |
| Le voyage en taxi c'était plutôt bien passé dans l'ensemble. Lucy s'amusait déjà à jouer avec les sentiments des humains normaux, ainsi il leur offrait confiance et gratitude face à sa pseudo innocence...Mais elle se vengerait, elle leur ferait payer la mort de deux êtres chère à son coeur ! Elle leur ferait payer leur stupidité, leur ingratitude, leur hypocrisie face à ce qu'ils croivent normal...Dieu les avaient créer, c'était pour nettoyer cette terre...
Les mutants, c'était l'évolution humain, et comme dans chaque évolution...L'être en dessous ce doit de disparaitre, aujourd'hui elle n'aspirait qu'a l'idée d'augmenter la vitesse de cette disparition. Ainsi, la vie serait plus douce et plus tranquille dans les années à venir, plus rapidement...Un jardin d'eden...Un paradis pour sa seconde vie.
Alors qu'elle parlait à ce chauffeur, elle imaginait déjà l'effet de ses vecteurs si elle les utilisait maintenant ne serait-ce que pour décapiter un autre automobiliste...Histoire de voir l'effet que sa ferait, la petite réaction en chaine que sa aurait...
Observant Nobuo dans quelques une de ses paroles, comme pour essayer de le faire participer à la discussion. La jeune fille semblait bien s'amuser, elle aurait souhaiter tuer le chauffeur juste pour lui apprendre que bientôt le règne de la terre appartiendrait à gêne x...
Elle les haissait tous, tous avait quelque chose à se reprocher, les souvenirs de ses moments douloureux lui revenait en tête.
Elle c'était mise à regrette le meurtre du vieil homme dans l'aéroport, elle aurait souhaiter que celui-ci souffre comme elle, comme son fils l'avait souffrir en frappant à coups de vase sur le seul réel ami qu'elle avait pu trouver à son jeune âge...Ce petit animal était-il réellement fautif de sa difference ? Pourquoi l'avoir tuer alors qu'il ne demandait que de quoi se nourrir, un peu d'attention, un peu d'amour. C'était ce qu'elle même avait toujours demander mais qu'aucun de ses enfants n'avaient souhaiter lui offrir...Ni même ses parents.
A ses pensées, elle observait du coin des yeux Nobuo. Lui, il serait toujours là...
Elle s'emmêlait un peu les pinceaux dans ses discussion, en parlant de tel plat elle en revenait à quelque chose d'autre qui n'avait rien à voir. Ainsi, l'homme qui conduisait semblait bien vite perdue face à l'innocence de la demoiselle.
"Vous avez jamais mais vraiment jamais manger de Sushis ! Et des Ramen ? Non plus ! Bon sang, c'est quoi ce pays ?"
Elle n'imaginait pas que la gastronomie était differente, laissant alors le chauffeur le lui expliquer...Elle observait en même temps un fast food qu'ils venaient de passé. Regardant Nobuo, ensuite, les explication du chauffeur sur la cuisine américaine était terminée.
"C'est pour ça qu'ils sont gros..."
Lucy n'avait aucune retenue, le silence s'en était suivit durant à peine deux minute car déjà ils étaient garé devant l'hotel. A peine sortie, elle sautillait déjà devant le coffre pour récupéré sa valise, le chauffeur avait ouvert le coffre et la jeune fille avait tiré sur son bagage, chutant sur le sol emporté par le poid de celle-ci.
"Aïe..."
Une main lui fut tendut, c'était l'homme de l'hotel qui c'était approchée d'elle en souriant doucement.
Je vais vous débarassez de cette valise...
Grand sourire aux lèvres, il n'y avait rien de plus délectable que de se faire servir par un humain. Observant Nobuo, elle c'était lever avec l'aide du chauffeur, l'homme de l'hotel pays la note et prenant les valise.
Attrappant la main que Nobuo lui tendait, ils entrèrent ensemble dans l'hotel. Lucy regardant la décoration de celle-ci et les personnes présente.
Quelques une d'entre elle fixait son ami Nobu-san, la plus part de ses personnes était soit des femmes, soit des membres du personnel de l'homme qui était venu à la rencontre de son ami.
D'ailleurs, elle avait fait une grimace en entendant la prononciation du nom nipon de Nobuo...Murmurant alors avec ce même accent histoire de voir comment l'homme avait fait pour écorcher ce nom:
"Lyuuku..."
En vaint, elle le prononçait à la japonaise. Levant les yeux vers le gerant de l'hotel, elle lui sourit.
"Bonjour ! Moi c'est Lucy"
Inclinant la tête sur la droite, elle avait ses yeux plus bridé que d'habitude à cause du sourire enfantin qui illuminait son visage. L'homme fixait la demoiselle quelque seconde de manière interrogateur.
Je ne savais pas que vous aviez une...Petite soeur... | |
| | | Nobuo Ryuuku
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| Sujet: Re: Hotel San Carlos Lun 5 Fév - 1:53 | |
| Il avait vu la jeune fille se précipiter vers le coffre. Elle était vraiment pressée d'entrer dans l'hotel. Cela signifiait-il pour elle sa nouvelle vie? Possible... Mais il était adoratif devant sa façon d'aller chercher son bagage. Malgré tout, elle n'oublierais pas ses affaires. Et il savait pourquoi... Tout ces vêtement étaient nouveaux. Nobuo les avaient payés puisque ses anciens vêtement avait brûlé (avec ses parents) avec sa maison. Mais il lui restait un objet de son ancienne vie qu'elle n'oublierais jamais.
Il vit l'homme prendre la valise et relever Lucy. En effet, Zirakoff avait bien fait ce qu'il attendais de lui. Ils allaient être reçu dignement... De quoi flatter n'importe quel égo... Sauf, que, bon, celui de Nobuo est un rien habitué quand même.
Il tendit la main ganté à Lucy une fois qu'elle fut debout. Lorsque ce fut fait, il ne la lacha pas et se dirigea vers l'entrée.
Une fois à l'intérieur, il se fit interpellé par cet homme. Il avait bien fort vieilli depuis cette année où il l'avait fait signer un contrat capital pour son père. Il s'en rappelait vaguement. Il lui avait fallu une heure de palabre pour lui faire accepter ce qu'il refusait avec un flingue sur le front. Son père avait été sidéré. Une grosse vente. Drogue... Dur... Expérimentale...
Zikaroff en avaitr passé la commande. Après qu'on ai reçu le paquet par paquebot venu tout droit du Japon, il avait refusé disant que les échantillons avaient fait plus de morts que de petés...
Par là, on pourrait dire que Nobuo avait bien fait une cinquantaine de morts aux USA rien qu'en forcant l'accord. Cette pensée le fit sourire. Il devrait s'en vanter auprès de Lucy. Elle aimais bien ce genre d'histoire.
"Bonjour, Monsieur Zikaroff... Vous semblez bien portant! C'est vrai ce que j'ai entendu dire? Vous avez arreté le "business"?"
Le vieil eu un geste de recul mimant un sursaut de rire silencieux. Rire sans éclat, morne... Ca ressemblait pas du tout au rire qui est censé être le propre de l'homme, comme les pleurs d'ailleurs. Le rire devrait être le propre des mutants. Laissons donc les larmes aux humains, ils en auront besoin pour pleurer leur familles... Et laissons rire les mutants! Ont-ils tous le même rire que Lucy?
Ce rire était... coloré... Il ne voyait rien d'autres pour le décrire... coloré, dessiné... Le rire de Lucy emplissait les pièces. Le rire de Lucy avait quelque chose de "réel"... Elle avait beaucoup souffert, beaucoup pleurer. Son rire n'en a été que renforcé. Il explose la bonne humeur. Il remplit. Il est "réel"...
Oh... juste un peu lassé. Je ne fais que quelques petites affaires par ci par là. Rien de très grand. Je me suis calmé depuis notre... contrat
"Oui... Je comprends..."
Lucy se présenta... Quel idiot! Il avait oublié... Pas oublier Lucy, mais oublier de la présenter. Elle faisait tellement partie de sa vie, qu'il pensait que tout le monde la connaissait...
Je ne savais pas que vous aviez une... Petite soeur...
Le sourire se forma sur le visage de Ryuuku. Petite soeur... c'est tellement peu comme lien...
"Comment dire? Ce n'est pas ma soeur. Elle est plus que ca..."
La présence de Lucy était tellement importante pour Nobuo qu'il ne s'apercut même pas que cette phrase pourrait semer le doute. l'homme devait déjà se demander si une relation amoureuse les liait. Et si oui, quel âge avait cette gamine?
Mais celà, Nobuo s'en... foutait! Du moment qu'il gardait Lucy à ses cotés, le reste... Il vit cependant quelques regards féminin si plaisant se fâner à cette phrase. Il aurait pu en déduire leur pensées... Mais ca semblait tellement impossible pour lui que cela ne lui traversa même pas les idées.
Toujours main dans la main, il demanda la clef de leur chambre afin de pouvoir se reposer, le voyage étant fatiguant et long. Zikaroff ne les fit pas attendre et les regarda jusq'à ce que les portes de l'ascenceur se refèrme sur eux...
Dans l'ascenceur, une légère musique venait flatté leurs tympans, les caressant doucement, les bercant déjà. Ils étaient seul, les bagages étant montés de leur côté durant la conversation-éclair.
"Ca te plait comme endroit?" | |
| | | Lucy Tsukyno
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| Sujet: Re: Hotel San Carlos Lun 5 Fév - 2:38 | |
| Tout deux étaient maintenant dans l'hotel, la demoiselle était en pleine analyse des lieux. De jolies plantes vertes garnissaient le petit salon qu'elle pouvait entre voir. D'ailleurs, au travers des murs vitrées elle pouvait observer un beau piano noir qui reflettait la lumière des plafonier. Elle aimait les pianos, elle aimait la musique tout cours. Regardant les gens qui l'observaient elle et Nobuo, elle souriait alors aux personnes qui lui souriait, simple reflexe d'hypocrisie. Au moins, cette hotel avait un minimum de luxe, comme quoi, elle n'était pas la seule à aimer ça !
Continuant sa petite analyse des lieux, elle remarquait avec dégout plusieurs enfants aux loins. Ce quel détestait le plus après l'être humain normal était justement, les enfants. Allez savoir pourquoi ? Pour elle, il n'y avait pas plus cruel que ces êtres, message de vérité de leur parent, ils étaient si naïf qu'ils en était d'autant plus cruel.
A cette vue, Lucy avait resserer l'emprise qu'elle avait sur sa main. Elle avait pas vraiment peur, sa la rendait simplement nerveuse.
La demoiselle détourna les yeux, si elle les fixait de trops, elle finirait par se laisser emporter par ses envies de meurtres. De tous les tuer...Sa tête lui tournait un peu, des souvenirs douloureux lui revenait. La vue de ce père à l'aéroport semblait avoir eu plus d'impact sur son psychologique qu'elle n'aurait pu le penser ou même s'en douter. Reprenant alors son analyse de l'hotel pour se changer les idées.
C'est la qu'elle remarqua que l'homme de l'hotel qui avait prit sa valise montait déjà dans l'ascenceur, celui-ci lui avait fait un petit signe de la main en la voyant le fixer, c'est sur ce signe que les portes de l'ascenceur se refermait.
Il semblait réellement sincère en lui ayant sourit. Cependant, Lucy voyait là comme de l'hypocrisie pure et simple, ce n'était là qu'une image qu'il offrait à Lucy pour mieux la manipuler, elle ne se laisserait plus avoir.
*Il suffit que je leur montre ce que je cache sous ma casquette pour qu'ils prennent peur et veulent ma mort...C'est toujours comme ça*
"Bonjour, Monsieur Zikaroff... Vous semblez bien portant! C'est vrai ce que j'ai entendu dire? Vous avez arreté le "business"?"
Elle fut alors attirée par cette phrase dite par son Nobu-San, elle aurait esperer une conversation animé et coder typique des trucs de la mafia, comme à la télé...C'était dans quel film...Ah oui ! Le parrain ! Elle voulait voir une de ses conversations méga énigmatique et la fin de la phrase de Nobuo pouvait largement permettre à l'homme d'entammer une discussion dans ce genre...Et qu'elle ne fut pas sa déception en entendant:
Oh... juste un peu lassé. Je ne fais que quelques petites affaires par ci par là. Rien de très grand. Je me suis calmé depuis notre... contrat
Elle fit une petite moue, cependant, un simple petit bout de la phrase avait suffit pour titiller la curiausité certainement maladif de notre petite Lucy...Il c'était donc calmé depuis un certain contrat signé avec Nobuo, Lucy aurait bien aimer savoir lequel et ce qui avait engendré pour calmer cet homme. Observant alors Nobuo.
"Oui... Je comprends..."
Non mais ! c'était quoi cette discussion de minable...Rooooh elle voulait vraiment un truc passionant digne de la mafia ! Enfin, elle regardait certainement de trop la télévision...
L'homme tourna son attention sur elle.
Lucy profita donc de cette attention pour se présenter, le sourire aux lèvres, la tête légèrement inclinant. Mimant une parfaite petite adolescente de son âge avec une petite allures digne d'une poupée.
Je ne savais pas que vous aviez une... Petite soeur...
Cette remarque amusa alors la demoiselle qui sursauta presque devant la réponse que Nobuo donna.
"Comment dire? Ce n'est pas ma soeur. Elle est plus que ca..."
Elle avait resserer une seconde fois la main de Nobuo, observant certain regard féminin se détourné de Nobuo et le regard suspicieux de l'homme à son égard. Lucy c'était même surprise à rougir, à la fois heureuse d'être plus importante qu'une soeur mais à la fois gênée de certain regard qui montrait parfaitement que tout le monde pensait à autre chose.
La clef fut donc demander et sous les regards suspicieux la porte de l'assenceur c'était refermer, une musique berçant la demoiselle qui se demandait si le maitre d'hotel avait bien fait son travail et donc qu'il avait fait minitieusement attention à sa valise. Quelque chose de précieux s'y trouvait.
Elle respira alors plus lentement, retirant ses chaussures dans l'ascenceur, une habitude niponne. Elle avait souhaiter le faire à l'entrer mais il lui en avait été presque interdit étant donné qu'il y avait trop de monde.
"Ca te plait comme endroit?"
Relevant la tête vers Nobuo, elle fit un oui de la tête
"Mais il pourrait être tellement mieux..."
Insinuant par là que sans les humains, cette hotel serait encore mieux... | |
| | | Nobuo Ryuuku
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| Sujet: Re: Hotel San Carlos Lun 5 Fév - 18:24 | |
| La décoration de l'hotel était monumentale. Le Hall était fait de grande dalle blanche et noir, chacune ornée de frises de la couleur opposée. Le comptoir était de bois, certainement luxueux. et massif. L'homme qui se tenait derrière celui-ci était habillé d'une chemise blanche avec un gilet noir où on pouvait voir la chaine dorée reliant un bouton à sa montre. Le noeuds papillon noir finalisait la perfection du service. Il était seul derrière ce comptoir; certainement pour une simple raison d'affluence faible. Il est vrai que peu d'humain pouvaient s'offrir un Hotel 4 étoiles.
Les clef, toutes dorée, était posée derrière lui, sur un grand présentoire de bois, accroché au mur. Les clef était évidmment fausse. Elle servaient de "porte-carte magnétique". La belle décoration d'antan ne refusait pas la modernité.
De cet endroit, on pouvait apercevoir les autres salles du rez-de-chaussée. Le bar, où quelques personnes était présente. Il avait aperçut deux jeune personne y flirter, un verre d'un quelconque alcool devant eux. Il avait entraperçut le restaurant, encore fermé par une petite banderole de velour rouge propre aux hôtels et endroits de galas. Une dernière porte restait cloîtrée. Certainement la salle de réception...
Une fois dans l'ascenceur, il avait remarquer la décoration alourdie, baroque de celui-ci. Les murs de ce monte-personne était emplie de frises d'un jaune agressif. Le sol était recouvert d'une légers tapi rouge. Il devait être agréable de marcher pied nu dessus comme le faisait en ce moment Lucy. Il la laissait faire car c'était dans ses habitudes. Lui était plus habitué aux coutumes "Made in USA". Il serait mal vu se promenant pied nu, alors que, pour sa soeur, ce n'était rien...
Derrière eux, le miroir reflétait patiemment leur reflet.
Il se demandait ce que pensait sa chérie. Il avait vu tellement d'expression en quelques instants. La colère qu'elle transportait toujours avec elle, la surprise, la suspicion, la curiosité, la déception... Il n'était pas sûr mais il pensait aussi l'avoir vu rougir...
Quand était-ce? Presqu'en même temps que les nombreux femme tournèrent leur visage, génée. Mais pourquoi ces réactions? Qu'avait-il dit?? Qu'avait-il fait?
Les autres, il s'en foutait royalement... Elles étaient toutes destiné à mourir. Il n'avait plus le temps de les mettre dans son lit, maintenant qu'il avait quelqu'un à qui faire attention.
Nyu Tsukyno, mieux connue sous le nom de "La Cornue" ou le "Démon" selon les reporter... Lucy...
"Je sais bien ce que tu en penses... Mais il faudra bien t'habituer à leur présence... Au moins jusqu'à ce qu'on aie reconnu le terrain et qu'on sache comment cela se passe pour nous ici..."
Oui, il devait savoir ce que les humains réservaient à ceux qu'on nommait "mutants". Une vqgue image lui revint à l'esprit, une image vieille de plusieurs siècles. La haine des humains envers les êtres différents, plus puissants... La Chasse aux Sorcières... L'Inquisition...
Certains humains devaient avoir réagit selon cette instinct primitif, comme toute espèce à l'aube d'une évolution majeure... Chaque représentant risquant de se faire décimé par une espèce meilleur sous tout point veux se "révolter" contre la tendance naturel. Mais, cette fois comme les millions de fois d'autres, l'espèce la plus adapté au combat vaincra et se décimera sur Terre.
"Oui... Nous sommes les plaies envoyés aux humains pour leur désobéissance. Nous devont éradiquer l'obselète..."
*DING*
Les portes s'ouvrèrent dans leur couloir. Comme prévu, le tapi du couloir et celui de l'ascenceur concordait. Comble du luxe, le motif coupé à hauteur des portes de l'ascenceur avait son autre partie dans le couloir. On pouvait deviner que c'était ainsi à chaque étage.
Le couloir était long de par et d'autre de leur endroit. A gauche et à droite, le couloir tournait vers l'avant. Il y avait donc deux suites à cet étage. Une à gauche, une à droite. Il regarda son numéro de chambre sur la clef.
SUITE 2, ETAGE 5.
Il prit vers la gauche, sans y penser. Mais il savait que son premier choix maintenant était toujours la gauche... Le bras vengeur du Tout-Puissant...
Il arriva devant la porte... SUITE 2 pouvait-on lire gravé dans un ovale de plaqué or, juste au dessus du Juddah.
"C'est ici..."
Il introduisit la carte magnétique dans le panel de contrôle situé à gauche de la porte, un léger bip se fit entendre, suivit d'un lumière verte. Il poussa la porte pour laisser entrer Lucy avant lui. | |
| | | Lucy Tsukyno
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| Sujet: Re: Hotel San Carlos Mar 6 Fév - 23:20 | |
| La petite Lucy avait ses idées qui vaguaient un peu partout, elle aimait et detestait cette endroit à la fois. Supportant avec difficulter la présence d'être humain cependant, elle devrait certainement s'y faire, devoir jouer le jeu pour éviter les suspissions. Elle avait horreur de ça.
Elle ne rêvait qu'a une seule chose, ne plus se cacher. Etre libre comme un oiseau filant dans le ciel, pouvoir se montrer mais surtout...Pouvoir leur montrer ce qu'était la souffrance.
Il n'y avait donc que peu de chose qui importait réellement à la demoiselle, la première étant Nobuo et la seconde étant d'éradiquer de la planete entière la sous-race, la sous-evolution...L'homo-sapiens...
Ses yeux un peu dans le vide, elle parlait à Nobuo de ce qu'elle n'aimait pas à ce lieux, celui-ci lui répondant:
"Je sais bien ce que tu en penses... Mais il faudra bien t'habituer à leur présence... Au moins jusqu'à ce qu'on aie reconnu le terrain et qu'on sache comment cela se passe pour nous ici..."
Elle soupira simplement, se retournant pour observer son propre reflet dans la glace, posant sa tête contre le bras de Nobuo. La demoiselle baissa les yeux, une pensées lui venait. Une maison en flamme, en y pensant, elle était loin d'être comme elle était aujourd'hui, elle était sortie de cette maison sale et en aillon quasi...
"Nobu-sensei...Et si il nous reperait...Qu'est-ce qu'on ferait si un jour il nous reperait..."
La main qui tenait celle de Nobuo se ressera légèrement, la demoiselle releva la tête vers son ami un mince sourire triste sur les lèvres. Elle retira sa casquette...
"On pourrait me surprendre avec cette allure..."
Aux japons ils avaient considéré ça comme une anomalie physique, un simple handycape de naissance, quelque chose d'inexplicable mais de réel, aucun d'eux n'avaient penser à ce qu'elle soit mutante. Posant son nez sur le bras de Nobuo.
Elle fini par remettre sa casquette et parla doucement..
"La voie des humains n'est pas en leur pouvoir, et il n'est pas donné à l'homme qui marche de diriger ses pas."
Les portes s'ouvrirent sur les paroles de la jeune fille, se retournant pour être dos au miroir, elle observa le couloir un moment.
La petite Lucy fit sortir ses vecteurs pour prendre ses chaussures et les glisser dans sa vrai main. Ainsi, elle n'était pas obliger de s'abaisser pour les prendre. De toute manière, les humains étaient incapable de voir ses vecteurs et par la suite, il n'y avait personne à cette étage.
Regardant les lieux, elle trouvait les couloirs parfois un peu trop criardes mais elles étaient déjà moins flash que celle de l'ascenceur. Fermant doucement les yeux, elle appréciait ce silence. Au moins, tout semblait très calme ici.
Et ils avancèrent.
Tenant ses chaussures d'une mains et la main de Nobuo de l'autre, la jeune fille faisait des petits pas digne d'une petite poupée. Ainsi, ses allures d'enfant en était accentué.
Devant la porte de leur suite, le chiffre deux ornait celle-ci. Observant Nobuo, elle avait souhaiter pendant un instant lui demander si elle pouvait elle-même ouvrir la porte.
Elle n'en fit rien.
Ce fut donc sur cette petite envie que Lucy vit la porte s'ouvrir. Observant son bagage aux pieds du lit, la miss courrut dans la chambre. Lachant ses chaussures à peine entrer, celle-ci tombèrent en vrac sur le sol. Elle ouvrir sa valise très rapidement et se figea alors en fixant le contenue.
Sortant alors de sa valise la petite boite à musique, elle se tourna vers Nobuo avec un grand sourire, aux moins, Lucy était à présent rassurée de voir qu'on avait quand même prit soin de ses baguages. Ouvrant la petite boite, elle s'asseya sur le sol et déposa la boite à musique sur le lit et posa sa tête sur le bord de celui-ci, la musique n'avait pas encore commencer.
"Une nouvelle vie..."
Elle en avait les larmes aux yeux, les fermant doucement, elle écouta la mélodie...Murmurant les paroles de la petite boite à musique...Attendant une réaction quelconque de Nobuo...
"Akai hoppe kiiro no shattsu Gizagiza moyou no boku no besuto furendo Shiroi peeji rakugaki shite Dekitate no uta utatta yo ne Wasurenai yo kimi to no episoodo"
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| | | Nobuo Ryuuku
Nombre de messages : 23 Age : 37 Localisation : hotel San Carlos(NYC)/Square Garden(LONDRES) Profession : Ex-Malfrat Pouvoir(s) : Vision Eye, Controle des ombres, psychométrie Date d'inscription : 31/01/2007
| Sujet: Re: Hotel San Carlos Jeu 8 Fév - 2:20 | |
| La scène de l'ascenceur lui semblait encore un peu floue. Celà lui semblais s'être passé intemporellement. Dans un autre monde, loin, loin d'ici, loin de l'incertitude, loin des humains.
Elle, tournée vers l'arrière de l'ascenceur. Un reflet net lui était visible. Mais caché à Nobuo... Lui n'avait pas envie de regarder son image à tout bout de champ. Non pas qu'il ne se plaisait pas. Mais ses traits lui rappelait de vague souvenirs de sa mère. Il évitait... Plus inconscienmment qu'autre chose.
La question de la jeune fille était déjà plein de maturité. A son âge, elle pouvait sentir le danger... Enfin, elle pouvait réaliser qu'un nouveau monde n'était pas nécessairement sans danger. D'un autre côté, s'il l'avait emmené dans un eden d'entente, où l'homme et le mutant cohabite dans une parfaite osmose luisante, elle l'aurait abandonné. Il le savait. Elle aurait tué tout les humains, race inférieur devant libérer la planète; et les mutants, sympathisant de l'ennemi, traitre à son espèce. Et aurait laisser Nobuo anéanti.
Sa question était donc mature mais logique...
"Hé bien... Je suppose que nous devrons nous 'débarrasser des témoins génants'... Jusqu'au dernier..."
Il la vit lui remontrer ses cornes. Elle était si jolie avec cellec-ci, si fragile... Si unique...
"On pourrait, oui... Cache les pendant un certain temps. La discretion est de mise dans cette partie. Mais, bientôt... Tu pourra te promener découvert et on t'honorera pour ces cornes, on t'enviera de ne pas avoir à mourir. Et je serai toujours là pour t'aider à les tapir sous un artefac de camouflage..."
Il faisait allusion à la scène de l'aéroport. Il ne doutait pas que ce genre de scène pouvait un jour se répéter. Mais ce jour-là, elle saura comment réagir.
Il se dirigea donc jusqu'à la suite fournie par son ancien client.
Il la regarda copurir vers son bagage pour en sortir cette sempiternel boite à musique. Toujours la même mélodie, encore... En quelque sorte, le sentiment que Ryuuku avait engendré envers cette boîte était un mélange de passion, de soulagement, de bonheur mais aussi de jalousie.
D'une certaine façons, il avait peur que cette boîte soit plus important que lui, que cette boîte puisse la séparer de lui. Mais, après tout, celà la mettais dans un tels état d'apaisement et de relaxation; un état de confort et de bonheur. Il ne pouvait que l'accepter: cela lui faisait du bien.
Et, après tout, c'était une sorte de culte à l'ancienne bonté humaine, maintenant disparue avec sa dernière représentante.
Il s'abaissa pour ramasser les chaussures trainant sur le sol et les rangea, alignée l'une à l'autre, à coté de la porte. Il y place les siennes à leur côtés. Il attendit la fin de la mélodie, religieusement.
"Pas en leur pouvoir... C'est exact, Lucy-kun... Je voit que tu continue toujours à approfondir tes pensées sur l'homme... C'est une bonne chose! Cet espèce le mérite... Elle nous enfanter, après tout... Mais tout comme la veuve noir dévorant son mari obsolète; nous, le nouveau sommet de la chaîne alimentaire, devons d'éradiquer l'inutile."
Il la rejoignit à coté du lit et s'y coucha sur le dos, la tête proche de l'origine de la mélodie qui faisait encore écho dans son crâne. Il regardait le plafond lisse que quelques frise ornait aux abords des coins et du lustre.
"L'humain se décompose, il se détériore de lui-même. C'est de la décadence. Comme Rome. Mais, ici, le processus est plus lent que les dégats de leur décadence... Et, comme pour les Grands Lézards qui connurent leur gloire il y a des millénaire de maintenant, il faut leur presser le pas, les anéantir à grande échelle, rapidement."
Il lui laissa le temps de comprendre tout ce qu'il disait. Elle n'était pas bête, elle avait compris ce que tout le monde comprendrais dans cette phrase. Mais il savait qu'elle comprendrait d'elle-même tous les petits sous-entendus que celà laissait entendre.
"La ^puissance divine qui entoure toute chose... Il aime changer de tactiques, il aime changer de jouet, de pion, d'attaque. Une fois météore, une fois évolution de l'espèce ancestrales; ces armes nont qu'un but: éradiquer le fléau actuelle pour permettre la continuité de la vie, dans sa forme brut." | |
| | | Lucy Tsukyno
Nombre de messages : 39 Age : 34 Profession : Aimerait devenir...Tueuse Professionnelle... Pouvoir(s) : 4 bras quasi invisible qui peuvent couper comme des lames de rasoir/protégé comme une vitre parballe Date d'inscription : 31/01/2007
| Sujet: Re: Hotel San Carlos Sam 10 Fév - 14:17 | |
| La musique à présent de cette petite boite emplissait sa chambre, cela l'emmenait dans un passé pas si lointain que ça, ces uniques instant de bonheur. Cela lui rappelait que dans la vie...Tout avait une exeption...
C'était peut-être cette simple boite de musique qui lui permettait de rester le plus calme possible face à des êtres humains. Sans ce passage de sa vie ou une enfant lui avait offert son unique bien...Il était certain qu'aujourd'hui elle aurait certainement détruis tout l'aéroport a cause de l'homme qui l'avait interpellé en ces lieux.
Pourtant, la demoiselle se souvenait de tant de mauvais souvenir que parfois, il était difficile pour elle de ne pas se laisser aller à ses envies meurtrière. Cette petite boite au son doux et clair était un halte à ses envies de massacre. Un monde ou l'être humain et le mutant cohabiterait serait pour elle impossible à réalisé, quoi qu'il arrive...L'homme disparaitrait de la surface de la terre, que sa soit de part ses propres guerre ou tout simplement a cause de l'évolution humaine. C'était ainsi que le monde tournait, c'était le cycle simple de la vie.
Mais comme tout deux l'avait décidé, ils accèlèreraient ce cycle...
Tout d'abord, ils éliminerait simplement les témoins gênant comme l'avait dit Nobuo dans l'assenceur...Et après...
Après elle pourrait peut-être vivre comme Nobuo le lui avait dictée dans ce même assenceur, avait-elle droit au conte de fée ?
Pour le moment, elle devrait ce cacher, rester discrète et surtout ne jamais les montrer en faite. Elle devait faire attention à ne pas choquer l'être humain et pourtant, elle avait horreur de ses cornes parfois...Elle voulait les faires disparaitre mais c'était tellement difficile par moment. Souriant simplement à la penser que Nobu-san pouvait le faire...Quelque fois...Comme à l'aéroport.
La petite Lucy se souvenait d'une de ses premières journées passés chez Nobuo, celui-ci avait du détruire la porte de sa salle de bain car Lucy ne répondait plus et ne voulait pas ouvrir. En faisant cela, il peut découvrir cette même demoiselle, essayant en vint de détruire ses cornes...Il y avait pas si longtemps que ça.
C'est Nobuo lui même qui lui apprit que tout cela n'était pas une malediction mais au contraire, un don de dieu...
Les yeux clots, sa tête posé sur le lit, elle repenssait à tout cela en écoutant le doux son de sa boite à musique. S'enfermant quelque minutes dans son petit monde. Cette boite a musique avait été l'espoir d'une petite fille aujourd'hui décédé, à présent, cette boite de musique était le souvenir de cette unique amie qu'elle avait eu...
Lucy savait pertinement que cette enfant aurait certainement prit peur en sachant que son amie avait tuer une cinq enfant dans d'attroce souffrance mais malgré ça, elle continuait de penser que cette enfant avait été l'unique réel amie qu'elle avait eu. Ses cornes ne l'avaient pas fait fuir ni même son pouvoir...Son don du ciel...
C'était ainsi que Lucy avait appris que dans toute chose il y avait des exeption, aussi rare soit-elle. Un petit sourire apparraissait sur ses lèvres...
La musique se stoppa en quelque note joyeuse, l'enfant ne bougeant pas de sa place, elle l'entendait bouger dans la pièce. Devinant que celui-ci devait certainement ranger ses chaussures. Elle se sentait bien maintenant.
"Pas en leur pouvoir... C'est exact, Lucy-kun... Je voit que tu continue toujours à approfondir tes pensées sur l'homme... C'est une bonne chose! Cet espèce le mérite... Elle nous enfanter, après tout... Mais tout comme la veuve noir dévorant son mari obsolète; nous, le nouveau sommet de la chaîne alimentaire, devons d'éradiquer l'inutile."
Elle releva la tête en voyant Nobuo se coucher sur le lit, la petite miss remontant un peu plus sur la litterie posa alors sa tête sur le vendre de l'homme, continuant à écouter les dire de celui-ci, les yeux fermer par la fatigue.
"L'humain se décompose, il se détériore de lui-même. C'est de la décadence. Comme Rome. Mais, ici, le processus est plus lent que les dégats de leur décadence... Et, comme pour les Grands Lézards qui connurent leur gloire il y a des millénaire de maintenant, il faut leur presser le pas, les anéantir à grande échelle, rapidement."
La demoiselle comprenait pas toujours tout mais elle arrivait à comprendre l'essentiel. C'était ainsi qu'elle apprenait en présence de Nobuo. Son oreille contre son ventre écoutait les bruits interne du corps de l'homme, bien que son attetion était axées sur les paroles de celui-ci.
"La ^puissance divine qui entoure toute chose... Il aime changer de tactiques, il aime changer de jouet, de pion, d'attaque. Une fois météore, une fois évolution de l'espèce ancestrales; ces armes nont qu'un but: éradiquer le fléau actuelle pour permettre la continuité de la vie, dans sa forme brut."
La demoiselle ne répondait rien, elle continuait simplement à écouter en souriant. Le silence prenait petit à petit place, on aurait pu croire qu'elle c'était endormie mais en réalité ce n'était pas le cas. La demoiselle avait sortie ses vecteurs pour attrapper le téléphone et le posé près de Nobuo.
"J'ai faim..."
C'était tous ce qu'elle arrivait à dire après le discours de Nobuo, se relevant, elle souriait malicieusement à celui-ci. | |
| | | Nobuo Ryuuku
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| Sujet: Re: Hotel San Carlos Dim 11 Fév - 1:19 | |
| Couché ainsi sur un lit aux draps de soie blanche et reflétant la lumière venant du lustre, le jeune homme regardait les frises avec insistance, les voyant se mouvoir tandis qu'il donnait un nouvel enseignement spontané à sa bien-aimée.
Il y voyait ici un nuage, là, un dauphin... N'était-ce pas une plume qu'il apercevait du coin de l'oeil dans à l'opposé de la salle? Non, maintenant qu'il la regardait, sa plume ressemblait plutot à une vague s'heurtrant sur un rocher.
Il sentit un légers poids s'apposer sur son ventre, tranquille, doux, chaud... Il n'en ressentait que du plaisir. Le proiximité de leur gestes venaient d'une grande compréhension d'eux-mêmes. Ils ne pouvaient plus se passer l'un de l'autre. Difficile d'admettre que Nobuo accepte sa "mission" sans la présence de la jeune Lucy à ses côtés... Vraiment difficile.
Le plafond continuait à se mouvoir, montrant des scène que seul lui pouvait observer... Il savait pas si Lucy pouvait voir elle aussi ses propres scènes. Mais il en doutait... C'était sa fatigue qui provoquait ses visions. Son cerveau s'écartait doucement de la réalité alors que lui continuait à prodiguer ses sermons à son élève.
Le dauphin avait disparu pour laisser place à un animal imaginaire doté de tellement de membres qu'il ne pouvait les compter. Celui-ci se ruait sur les autres animaux, les dévorait l'un après l'autre. Laissant les frises marquées de sang.
Il se secoua légèrement la tête avant de laisser sa dernière phrase sortir de son gosier. N'était-il pas étrange de pouvoir parler de celà si facilement. De trouver ses mots aussi aisément et de les placer de façons à ce que ce soit le plus clair possible?
A quoi Nobuo devait-il cette facilité? A son esprit? Ou à autre chose?
Tandis que le massacre d'en haut s'étais remis en place. Plus de dauphin, plus de vagues... Plus de monstres, juste des frises sorties de l'imagination d'un homme comme un autre...
La petite s'était tue pendant tout son sermon, comme toujours. Un silence religieux... Peut-être s'était-elle endormie... Possible! Mais elle devait certainement bouger dans son sommeil... A moins que les USA et sa nopuvelle vie lui fasse cet effet d'apaiser ses souffrances nocturnes?
Il sentit un poids se poser à côté du sommet de son crane... S'était-elle lever? possible... Il regarda. Non, le téléphone...
*Qu'est-ce que...*
"J'ai faim"
C'était ses vecteurs... Elle avait apporté le téléphone sans bouger de son ventre, il sourit. Il aimait quand elle lui demandait de l'attention.
Sans bouger de son lit, il décrocha le combiné et le posa à plat à cotés de son oreille. Il appuya maladroitement sur la touche 0 pour atteindre le central de l'hotel.
Il laissa sonner... Après deux sonneries, quelqu'un décrocha, une voix féminine. Un peu pressé mais serviable. Quelques touches de gentillesse qui pourrait atteindre de la séduction si cela avait été un autre contexte. Un voix agréable...
"Oui? Que puis-je pour vous?"
Il ferma les yeux et entama la conversation d'un ton assuré mais las.
"Bonsoir, Mademoiselle. Nous sommes les occupants de la suite 2 et nous aimerions avoir un repas."
Il savait que le restaurant devais etre ouvert à cette heure-ci de la soirée mais ils préféraient grandement diner dans leur chambre.
"Bien... Que désirez-vous? Je ferai passer la commande à nos cuisiniers."
Il ouvra les yeux subitement. Il avait oublié de demander à Lucy ce qu'elle désirait. Il connaissait assez les goûts de la jeune fille mais ne devinais pas si elle souhaitait tenter un repas plus américains ou si elle allait s'essayer à la cuisine japonais "américanisée"...
"Un instant, je vous pris..."
Il se releva, se maintenant sur son coude. Le combiné bougea légèrement mais resta en place malgré tout, juste à coté du creux formé par sa tête dans le matelas. Il lui semblais que la fatigue ralentissait tout ses gestes. Il caressa le visage d'ange de Lucy. Elle semblait endormie... Seul sa respiration témoignait de sa conscience. Et peut-être aussi les grognements récurents de son estomac.
"Lucy-kun, qu'est-ce qui te tente?"
L'hotesse d'accueil, habillée d'un semblant de complet homme où la jupe aurait remplacé le pantalon et le foulard assorti aurait volé la place de la cravate attendait patiemment, le sourire aux lèvres. La voix lui avait plut... Elle se demandait à quoi ressemblait cet homme...
Ce n'était pas la première fois qu'elle imaginait ses clients. De plus, la façon dont il s'adressait à cette Lucy l'avait un peu charmée. Il acquiesca à son supérieur qui passa devant elle et fit un beau sourire tout emprunt de conscience professionnel aux deux clients qui le suivait.
Elle commencait à trouver la journée longue... Mais elle y prenait beaucoup de plaisir. Ce travail lui ouvreait les portes par les relations que l'on pouvait se faire. Un hotel quatre étoiles amenait pas mal de monde...
Nobuo caressait doucement le visage de la petite posé contre son ventre, attendant qu'elle se décide. | |
| | | Lucy Tsukyno
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| Sujet: Re: Hotel San Carlos Jeu 15 Fév - 21:36 | |
| La demoiselle était toujours très silencieuse quand Nobuo lui parlait, écoutant religieusement ses dires, elle les enregistrait et essayer deles comprendre du mieux qu'elle le pouvait. Son esprit parfois enfermer dans un monde trop enfantin, elle avait parfois un peu de mal même si habituellement...Il n'y avait aucune problème.
De nature spontanée, la demoiselle avait fait, à l'aide de ses vecteurs, bouger le téléphone jusqu'a Nobuo, elle avait faim et elle lui avait fait savoir simplement de part ce geste.
Elle souriait tout en prononçant sa petite plainte...
Son ventre grondait légèrement.
Et puis ainsi, de par ce geste, Nobuo faisait un peu attention à elle, elle en demandait toujours un peu plus parfois. Se rendant pas compte de son égoïsme.
Ecoutant le bruit du téléphone qui se décroche, elle releva les yeux vers Nobuo, s'asseyant sur le lit en souriant simplement. Déposant rapidement ses lèvres sur sa joue pour lui dire merci.
Elle garda un moment son nez contre la joue de Nobuo, écoutant le bruit du téléphone qui sonne et la voix féminine qui s'en était dégager ensuite. Elle était polie mais Lucy n'en croyait rien, on l'obligeait simplement à être ainsi, c'était le B.A.ba de son travail.
*Mais elle a une jolie voix*
Pensa-t-elle en se reculant, observant Nobuo les yeux clots, elle sourit légèrement.
"Bonsoir, Mademoiselle. Nous sommes les occupants de la suite 2 et nous aimerions avoir un repas."
Même si Nobuo lui avait dit que le restaurant était ouvert, Lucy aurait simplement refuser de manger. Elle ne voulait pas se mêler à la foule maintenant.
Elle retira sa casquette et se leva jusqu'a la porte pour la fermer à clé, même si pour le repas un des membres du personnel viendrait à eux, Lucy ne voulait pas qu'on la voit ainsi, même si ça lui aurait donner une bonne raison de les tuers.
La demoiselle se dirigea alors vers sa valise qui était déjà ouverte, ses vêtements semblait voler dans les airs, ses vecteurs les déposant alors dans les amoirs qui se trouvaient à leur disposition, elle tourna ses yeux d'un bleu azur vers Nobuo, la couleur de ses yeux habituellement brun avait prit ce bleu profond car elle se sentait...Bien... Retournant ce coucher aux côtés de Nobuo, elle referma les yeux.
"Un instant, je vous pris..."
Elle n'avait qu'écouter à moitier ses dires, restant les yeux clots, elle semblait endormie alors qu'elle n'était que calme. Sentant la douceur des doigts de Nobu-san se déposé sur sa joue, la demoiselle eut un magnifique sourire en cet instant, quelque seconde seulement. Ouvrant les yeux vers Nobuo. Elle l'écouta et se mit ensuite à réfléchir à la question qui venait de lui être posées.
"Lucy-kun, qu'est-ce qui te tente?"
C'était une bien bonne question, Lucy ne savait pas du tout ce qui la tentait. Elle ne souhaitait pas vraiment se frotter à la nourriture typiquement américaine mais elle avait peur du résulta de la cuisine japonaise américanisé. Et si elle demandait quelque chose de tout simple que les américains ne risquaient pas de gacher ?
Elle avait alors penser à de la patisserie, c'était quand même partout pareil, mais trop de sucre maintenant allait certainement l'empêcher de dormir ou alors elle risquait d'avoir un sommeil où ses vecteurs se matérialiseront durant son sommeil et détruiront certains meubles de la chambre comme c'était déjà arrivé chez Nobuo a cause de ses cauchemard.
Reflechissant simplement à un plat pas trop difficile à faire, elle avait des noms de plats typiquement japonais qui lui était venu en tête: Hayashi raisu, raisumono,...Elle ne savait guerre choisir, c'est alors que son sourire ce fit un peu plus grand, son estomac avait choisit...
"Omu Raisu"
Ce plat typiquement japonais était fait à base de morceau de poulet mélanger avec du riz et ensuite envelloppée dans une omelette. Le plat ne demandait pas grand chose comme assaisonnement, simplement du ketchup, estimant que les cuisiners pourraient faire sa sans peine... | |
| | | Nobuo Ryuuku
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| Sujet: Re: Hotel San Carlos Jeu 22 Fév - 1:36 | |
| La voix de la jeune femme lui avait vraiment paru jolie. Cela avait été un choc pour lui. Un choc très profond. Souvenirs... Souvenirs d'un passé... Pas si lointain... Une jeune fille... Belle... Flou... Loin... Elle dit quelque chose, il ne l'entends pas... Mais les voix sont presque identiques... *C'est pas possible que ce soit...*Une ancienne connaissance... Une fille... Il l'avait aimé, non? Il ne s'en souviens plus... C'était il y a longtemps. Non... C'est juste que beaucoup de choses se sont passées depuis. Loin... Il ne voulait plus l'entendre... Il voulait l'entendre... Non, il n'en voulait plus... Sa vie a changé maintenant! Que ce soit elle ou non, c'est une humaine, une stupide et inutile humaine... Une personne qui détruit la Terre, qui injure Gaïa, Dieu, Allah et tout les Panthéon de tout les Dieux. Lucy... Il lui fallait la voix de Lucy... *Oh, Lucy, rappelle-moi à la vie... Lucy, Ramène moi à nos idéaux... Lucy, je pars... Lucy, parle moi*Omu Raisu... *Merci...*Une simple voix, quatre syllabes au total... Cinq lettres... Et Nobuo Ryuuku, Darkness, était de retour... Lucy-kun, la seule chaîne qui le lie à la réalité... La source même de sa foi, de sa décision... Rien n'aurait été possible sans elle. Elle croyait qu'il lui avait enseigné sa foi durant ces long discours. Mais, en fait, il les créait en même temps qu'elle, au moment même où il parlait. Elle était le catalyseur de sa religion... "Omu Raisu... Vos cuisiniers connaissent?"Un sourire se déssina sur les lèvres fines de la dame d'accueil... Celà avait été long. mais la fameuse Lucy-kun avait enfin fait son choix. "Je suis désolé, Monsieur... Nous ne faisons pas les spécialités étrangères..."
*Idiote... C'est pas comme ca que tu finira par rencontrer quelqu'un ! Tu aurais pu tout autant téléphoner à un traiteur chinois ou encore forcé le cuisinier à faire une recette sorti de l'imprimante cinq minutes plus tôt...*
"Je suis désolé, Monsieur..."Cela le fit sourire. Il s'y... attendait un peu. Les Américains ont toujours le chic pour ne s'arrêter qu'à ce qui leur appartient. "Bien... Je vais devoir disposé de vos cuisines pour quelques minutes... Je suppose qu'étant invité, je peux me permettre celà... Vous mettrez les ingrédients sur la note du directeur..."Et il raccrocha le combiné. Il se frotta le visage de ses mains, étirant la peau de ses joues avant de relever son buste pour prendre cette position assise sur le lit. "Lucy-kun... Je vais devoir m'absenter... Veux-tu bien ranger le téléphone? Et, s'il te plait, n'ouvre à personne... Je pars avec la carte magnétique..."Il prit la carte qu'il fourra dans sa poche avant d'aller embrasser la jeune fille sur le front. Il se dirigea vers la porte et l'ouvrit. Il fit un dernier signe à Lucy avant de refermer la porte sur lui et de se diriger vers l'ascenceur. Une fois dans le hall, il se dirigea vite vers les cuisines. Il ne voulait pas voir, il ne voulait pas regarder. Mais juste avant de passer le chambranle de la porte, il tourna sa tête vers l'accueil... Juste avant qu'il ne puisse plus regarder. *Non... Ce n'est pas elle... Ce n'est pas elle... Je suis sauvé. Cette journée est normale. Je suis mutant, je suis à New York...*Il sentit l'odeur des aliments lui attaquer le nez. Il regarda autour de lui, dans ce décor de blanc et de métal. "JE CHERCHE LE CUISINIER EN CHEF..."Au fond, à gauche... Au fourneau trois. | |
| | | Lucy Tsukyno
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| Sujet: Re: Hotel San Carlos Jeu 22 Fév - 2:02 | |
| Elle acceuilla en silence le baisé de Nobuo sur son front, souriant simplement, elle le suivit jusqu'a la sortie...
La porte s'ouvre...
Un derniers sourires...
Il disparait derrière...
Et la porte se referme...
La solitude lui revient.
Sa main se pose sur cette porte doucement, à plat...
La peur qu'il ne revienne jamais lui monte au coeur.
"Je me sens si seul quand tu es pas là"
Sa voix était a peine audible, contre la porte, l'oreille collé à celle-ci, elle écoutait les pas de Nobuo s'éloigner dans le couloir. Le "ding" sonore de l'ascenceur et le silence qui s'en suivit.
Lourd...
Elle reste immobile et silencieuse...
Retient un moment sa respiration...
Combien de temps va-t-elle être seule ?
La jeune fille ne veut pas rester là, Lucy se décida simplement à quitter cette porte et penser à autre chose. Observant sa petite boite à musique, elle sourit un moment. Il reviendrait, pourquoi disparaitrait-il maintenant ?
Elle se sent doucement mieux, tellement mieux...
"C'est mieux encore si c'est Nobuo qui cuisine, sa va être bon...J'espère qu'il sera pas trop long ! J'ai faim moi !"
Un petite rire retenti
*Merci...*
Pensa-t-elle doucement, pour Nobuo, il ne l'entendrait certaiment pas mais elle le pensait très fort... Il était constament là, pour elle, toujours...
Descidant donc de s'occuper en attendant la préparation de ce repas typiquement japonais, la demoiselle se dirigea simplement vers la salle de bain. Elle visitait les lieux en sautillant, retirant sa casquelle, ses cheveux long se glissèrent en bas de son dos, doucement, elle observa ses cornes ne nouvelle fois. Est-ce que Nobuo les aimait bien ? Ses cornes...
Elle baissa la tête doucement, soupirant simplment.
Ses mains se glissèrent alors sur sa robe cherchant dans son dos la fermeture éclaire qui lui permettrait de quitter tout simplement ses vêtements de poupée.
La minute qui suivit, la jeune fille était en sous-vêtement, tout de blanc, sautillant jusqu'a l'armoire dans laquelle elle avait ranger les affaires de Nobuo.
Elle chipa une chemise de celui-ci, elle rentrait trois voir quatre fois dedans mais elle aimait bien être dans les vêtements de Nobuo pour dormir, enfilant la chemise, elle ferma les boutons, ne faisant pas attention qu'elle en avait décallé un...
"Pffff je m'ennuie moi maintenant !"
Observant les lieux, elle regarda la télévision...Pourquoi pas...Bien qu'il était passé 23 heure maintenant, la demoiselle prit la télécommande et alluma la boite à image.
En vue de ce qui passait sur la chaine sur lequelle elle était tomber, elle éteignit directement le téléviseur en rougissant fortement. Restant un moment figer devant ce qu'elle venait de voir.
"Beurk..."
Se tournant simplement vers le téléphona, elle rangea celui-ci, rangea la boite a musique et se mit debout sur le lit. Les bras croisés, elle semblait bouder.
Ses yeux observait un moment une petite chaine hifi, souriant de plus belle, la demoiselle alluma simplement la radio essayant de comprendre les mots maché du présentateur de cette chaine radio.
Quelque minute passèrent ou Lucy était debout sur le lit, alors qu'une chanson venait de commencer, la demoiselle ce laissa doucement emporter par son ennuie, préférant s'occuper de manière certe peu intelligente mais amusante. Aux rythme de la musique.
Habiller simplement de sous-vêtement blanc et d'une chemise blanche, la jeune fille chantait tel une forcenée, riant à sa propre bêtise...
Elle sautait en même temps sur le lit, les draps et autre se retrouvant tout chambouler sous la danse frénétique de la demoiselle qui chantait tout simplement.
"Tonight's the night we're gonna make it happen Tonight we'll put all other things aside Get in this time and show me some affection We're goin' for those pleasures in the night
I want to love you, feel you, wrap myself around you I want to squeeze you, please you, I just can't get enough And if you move real slow I let it go
I'm so excited and I just can't hide it I'm about to lose control and I think I like it I'm so excited and I just can't hide it And I know I know I know I know I know I want you
We shouldn't even think about tomorrow Sweet memories will last for long long time We'll have a good time, Baby, don't do worry And if we're still playin' around boy that's just fine
Let's get excited, we just can't hide it I'm about to lose control and I think I like it I'm so excited and I just can't hide it I know I know I know I know I know I want you, I want you
I want to love you, feel you, wrap myself around you I want to squeeze you, please you, I just can't get enough And if you move real slow I let it go
I'm so excited, I just can't hide it I'm about to lose control and I think I like it I'm so excited and I just can't hide it I know I know I know I know I know I want you"
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| | | Nobuo Ryuuku
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| Sujet: Re: Hotel San Carlos Jeu 22 Fév - 3:16 | |
| "Au fond à gauche... Au fourneau trois"
Le jeune assistant-cuisinier n'avait même pas relevé la tête pour voir à qui il s'adressait... Les cuisines étaient-elles vraiment libre d'accès? Ou avient-ils été prévenus?
Sans en demander d'avantage, il traversa la pièce d'un pas rapide, évitant les flammes venant de droites, slalomant entre les repas que les cuisiniers amenait vers le restaurant. Existait-il vraiment une telle activité à cette heure-ci? Les New Yorkais n'ont-ils donc aucune notion d'horaire?
Une fois arriver au fond, il tourna directement sur sa gauche et découvra un autre cuisinier, rien ne le différenciait des autres si ce n'est un nombre de taches séchées plus importantes.
"Excusez-moi... Je suis venu pour une commande spéciale... On m'a dit quon me laisserait utiliser vos fourneaux..."
Bon, il avait un peu foercer la chose mais il n'avait pas besoin d'en dire plus.
L'homme lui fit signe de la tête en lui montra du doigt un appareil vert collé au mur. Il avait été prévenu par téléphone. Il retira son plat fini et se retira des fourneaux. En passant à ses côtés, il ajouta qu'il ne lui laissait qu'une demi-heure... Rien de plus...
Nobuo se retroussa donc les manches et installa ce dont il avait bezsoin devant lui : Poulet, Riz, Oeufs.
Il mit le poulet à cuire après l'avoir découper en morceaux en même temps qu'il mettait de l'eau à bouillir. Dès que les bulles furent présentent, il y mit le sachet de riz.
Un peu plus tard il se mit à oeuvrer pour l'omelette.
Dès que tout celà fut prêt, il placa le riz et le poulet ensemble sur l'omelette et roula l'omelette autour.
C'est en repartant avec l'assiette qu'il remarqua qu'il n'avait pensé à rien pendant qu'il s'affairait aux plaisirs de sa "soeur". Ce la semblait plus important que tout.
Il remonta dans l'ascenceur avec l'assiette entouré de papier alu pour garder la chaleur. Elle était placé sur un plateau sur lequele se trouvait aussi les couverts et le verre de jus d'orange.
Il n'avait même pas regardé vers l'accueil. Cet épisode était passé. Il avait ressenti la présence de Lucy-chan à ses cotés tandis qu'il cuisinait pour elle. Il avait ressenti sa gratitude... Celà était ce qu'il retenait. L'hotesse d'accueil ne faisait plus partie de ses pensées... Du moins, en apparence...
Il remontait, tenant le plat devant lui, à deux mains. Il avance vers la porte. Il tint une seonde le plat en équilibre à une main pour ouvrir la porte de l'autre et, dans l'instant suivant, il fut submergé de son...
Il passa d'un pas à l'intérieur et vit la jeune fille faire des bonds en chemise sur le lit de l'hotel. Il resta un peu dubitatif devant ce spectacle. Quelque secondes pas plus! Il avait vite repris ses esprits. Et le sourire lui vint au lèvres. Il posa le plat sur une étagère basse et retira ses chaussures à l'entrée, de façons à ce que la petite ne le voie pas...
Et la seconde qui suivait, la porte se fermait en claquant et lui se retrouvait sur le lit à sauter aux cotés de sa fille...
Il se mit à chanter moins fort qu'elle car encore un peu soucieux du fait qu'il chantait faux. Doucement, aux quatre coins de la pièces, quatres coins mal éclairés par la lumière, quatre ombres se mirent en mouvements.
Deux danseurs, deux danseuses placés de façon antisymétrique se mettait à onduler au son du dernier couplet de la chanson. Rythme entrainant, il sautait toujours sur le lit et finit par se laisser retomber sur le matelas à la fin de la chanson.
Les quatres formes finirent par disparaitrent, laissant à nouveau les coins intactes. Il se passa un bras derrière sa nuque et tendit l'autre vers Lucy.
"Viens faire une gâtée à Nobu-sempaï... Il en a besoin... Après tu mangera ton repas... Et puis un gros dodo !" | |
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