Faire du léche vitrine

Le bar de l'aigle myope été connue pour sa magnifique vitrine ou s'étalé des objets de collection de toute origines. le plus important de tous était un tableau représentant un magnifique aigle jonché sur une montagne. mais cette aigle porté une paire de lunette ronde casant toute sa majésté. Ce tableau avait donné son nom au bar restaurant.

Se jour la le bar était bondé, la vitrine reflétait les nombreux visage des gens souriant ou s'esclaffant en regardant le tableaux étrange. Puis un cris les fit tous se retourner et il eurent a peine le temps de se pousser avant qu'un homme, d'environ la quarantaine et vétue d'un magnifique costume trois piéces, portant une seul chaussure de marque en simili croco, ne traverse la vitre.

Puis un autre homme, une cigarette derriére l'oreille et une arme a la main, passa par dessus le muret et grimpa a son tour dans la vitrine. Il s'arréta le temps de redréssé le fameux tableau, puis se retourna vers l'homme planant qui semblait éffrayé et tenté de se faire tout petit, tandis que les gens, complétement aboussourdie, ne mangé plus, mais ne réagissait pas plus. D'une vois froide et sans émotions celui portant l'arme déclara en regardant un bloc note numérique

"Tu est James William Smith, recherché dans plusieur états pour vol a mains armé, meurtre et torture, et plus connue sous le nom de Jymmy les mains tranchantes. Mon contrat pour te coincer s'éléve a..."

il fut interrompue par un brusque mouvement de main du fameux Jimmy. Alors, analysant a une vitesse folle tout ce qui l'entouré l'homme armé tapa avec une force précise sur le tableau de l'Aigle qui s'éleva et se placa dans la trajectoire de la main de James. L'oeuvre d'art se déchira et le barman s'effondra en larmes en voyant la clef de sa collection finirent déchiré. Pourtant, toujours abasourdie personnes ne bougeait. Tranquillemt celui qui avait donné le coup fatale au tableau tira le mutant au mon tranchante par le col, le jetta sur le trottoire et termina sa phrase la ou elle été:

"...dix mille dollard mort, quinze mille vif. Tu as de la chance j'ai besoin d'argent et je ne vais donc pas te tuer."

Smith esquiva de nouveau un geste de la main mais son agresseur lui saisie le poignet et d'un mouvement précis le brisa

"vif ne veut pas dire en parfaite état alors arréte.2

Cette remarque fut accueillie par un cri de douleur. Puis arriva une voiture noir vitre teinté .Aussitot le mercenaire atrapa de nouveaux jimmy par le col de sa chemise et le jetta dans le coffre du véhicule. Puis il s'approcha de la porte du passager. La vitre s'entrouvit légérement. Il recut une papier ressemblant a un chéque, puis discuta quelques secondes encore et recut un autre papier. La voiture démmarra rapidement, malgré le meutrier qui tapait au fond de son coffre.

L'homme a la cigarette entra dans le bar par la porte cette fois, puis s'approcha du comptoir ou le barmaid, et proprio, pleuré. Alors il dit

"voici 500 billets pour réparer la vitrine, et ce bon, il donna le deuxieme papier céder par le passager de la voiture,, vous assure que vous obtiendrai bientot l'original de cete peinture qui a été déchiré."

Le gros homme sembla incrédule, lui qui avait toujours cru posséder l'original.

"vueillez m'excusé du dérangement, mais sachez que vous venez de particper a l'arestation d'un meurtrier.2

Il sourit, car en réalité ses homems n'avait rien de flics, juste des mafieux dérangés par la présence de se concurrant potentiel dans leur ville...et a présent il été sur que la police ne trouverai jamais Jimmy, ou alors en plusieurs morceau.

Finalement le tueur a gage sortit, épousta les débris de verre coincé dans sa veste, puis se dirigea vers le café en face, préférant un chocolat a de la biére. Il posa la main sur la poignet de la porte de l'établissement, mais quelqu'un l'ouvrit de l'autre coté et il bascula en avant et tomba contre cette personne qui était...

... Une jeune demoiselle qui n' avait pas l' air d' avoir pas plus de 18 ans... voir 16... elle était vêtue d' une longue et grosse doudoune noir. Dessous, un pull rose polaire soyeux, un jean' s assez moulant rentrant dans une paire de botte en cuir noir à talon aiguille. Sur la tête elle avait un bonnet beige. Son visage était finement maquiller sans rouge à lèvre. Ses mains était vêtue d' une paire de gant blanche en soie. Alors qu' elle rentrait dans ce bars, attiré par la vitirne casser, elle avait ouvert la porte d' entré sans regarder et fonça dans un homme plus âgé qu' elle. Cette homme était vêtu d' une longue blouse en cuir noir, avec une paire de rayban noir, un tee-shirt noir et un jean' s bleu ciel attacher d' une ceinture en cuir maron, et une paire de chaussure de ville en cuir noir. Léa, n' osant pas trop le toucher, dit, le souffle court:

(Léa) - Sa ne vous détrangerez pas vous levez... j' étouffe...

Léa avait les mains plaquer au sol, par peur de le toucher par accident.

Avec un sourire pour la gamine il se releva et lui tendit sa main pour l'aider a se relever

"désolé, rien de casser j'éspére."

Il avait un sourire amusé au lévres, impossible d'imaginer qu'il venait d'envoyé un homme a la mort. Tel était toute l'ambiguité de cette homme venait de la: froid et impoitoyable pendant son travail mais le plus charmant et polie des gentleman le reste du temps.

"je suis désolé, mais avec une rude journée comme celle ci, j'ai un peu la téte en l'air."

Discrétement il rangea son arme, tout en déplacant mentalement un petit carillon qui attira l'attention de la jeune femme et lui permit d camoufler son révolver sans qu'elle le voit.

Puis il retira ses lunettes, dévoillant des yeux amusée et joyeux.

"je peu vous offire un café pour me faire pardonner jeune femme. sauf si la compagnie d'un homme vous dérange."

Il ne cherchait nullement a la draguer, il s'agissait seulement de politesse. Puis il rebaissa sa main en remarquant que le corp de la femme dégageait les symptome de stress, et qu'elle portait le géne mutant en son adn.

"ha, je voit que vous avez un pouvoir au toucher, je suis donc désolé de ne pas pouvoir vous aidez a vous relever. Sauf si vous m'assurer que vous ne me carboniserai pas juste par la peau."

Il déclara cela avec toujours son sourire ce qui prouvait qu'il n'avait pas peur et n'agissait ainsi que pour ne pas la faire stresser plus encore

Alors que Léa venait de demander s' il pouvait se dégager de sur elle, car en plus d' étouffait elle avait peur que par accident sa peau rentre en contact avec la sienne, il se leva aussitôt. Il lui tendit la main. Léa regarda dans un premier temps la main, ganter de gant en cuir noir, puis elle porta ses yeux sur son visage où elle vit se petit sourire de gentilesse avec un côté un peu narquois. Elle avala difficilement sa salive. Puis quand elle voulut lui dire quelque chose, un carillon bouge se qui attira l' attention de Léa. Elle regarda l' objet se demandant si c' était l' effet de l' etouffement qui la rendait hallucinogène ou bien l' objet avait bel et bien bouger. Elle retourna son attention sur l' homme. Elle se leva seule, sans l' aide que lui proposait l' homme. Il lui proposa un café.

(Léa) - Désolée je ne bois pas de café.

Puis l' homme lui lança :

(Jonathan) - ha, je voit que vous avez un pouvoir au toucher, je suis donc désolé de ne pas pouvoir vous aidez a vous relever. Sauf si vous m'assurer que vous ne me carboniserai pas juste par la peau.

Comment savait-il cela? Un mutant? De quel sorte? Comme Eve? Détecteur de pouvoir mutant?

(Léa) - Wouaouw! Chut! Moins fort! j' ai eu ma dose avec les clan anti-mutants... et comment vous savez ça? Vous êtes qui? Merlin?

Léa regarda l' homme avec un regard amusé, les lèvres entre un sourire et une grimace. Ses pomettes devinrent un peu rosâtre sur sa peau au tint d' un beige blanchie.

(Léa) - Vu comment vous êtes habillé vous me faites penser à Matrix... sans vouloir vous offensez...

Puis la curiosité l' emporta.

(Léa) - Et... euh... vous travaillez dans quoi sans indiscrétion? Une filation mutante à la Matrix?

Puis soudain une réaction habituelle dans sa tête fit un "TILT"

(Léa) - Et puis je sais pas votre âge... mais vous m' avez l' air bien vieux pour demander u ncafé à... à... une gamine... mais je ne suis pas gamine loin de ... là...

Léa commençait à baffouiller, signe de timidité.

"alors pas de café, vous me dites ce qui vous convient, même si c'est du champagnes."

L'intérét de travailler au noir et dans ce milieu c'est qu'il ne manquait pas d'argent, les meurtres étant un domaine ou la discrétion se comptait au billets.

Lorsqu'elle le compara a Merlin il éclata de rire et lui répondit avec un clin d'oeil amusé

"non, je suis Gandalf le blanc...bon en réalité j'ai le don de voir les données physique et quantique de tout ce qui m'entourent. Donc je sais ce qui se trouve dans vos génes."

Il regarda autour de lui. Les gens l'avait vu se battre et aucun d'entre eux même si il avait entendu qu'ils étaient mutants, n'avait esquissé le moindre gestes. Il se retourna vers la gamine et lui dit avec un haussements d'épaules

"il ne faut pas se cacher. Nos pouvoirs respectifs doivent nous permettrent de nous défendre non ?"

Elle le compara a un homme sortit de la Matrix et il regarda ses vétement. Des vétement de travail, donc en cuir pour mortir le coups, ample pour déstabilisé les tireurs, et surtout trés classe pour impréssioné et effrayé . Elle le questionna sur son travail et il s'imagina un instant lui dire la vérité: je suis tueur a gage ma demoiselle, je vous offre un café ? Mais au lieu de cela il répondit avec la plus grande sincérité, utilisant son pouvoirs secondaire pour cacher son mensonges: ni battements de coeur plus élever, ni hausse de température. Il déclara donc avec le plus grand naturelle:

"je suis assureur, je venait voir les dégats ici. Le bar sera remboursé, les automobiliste sous faisant n'importe quoi de nos jours."

Il l'observa s'embrouillé a cause de leur ages et la rassura tout de suite

"vous savez, boire un café avec une fille 'nimplique pour moi rien d'autre que...boire un café. OU aute choses vue que vous n'aimez pas le café. A 17 ans cela n'a rien d'incovenant de voire avec un homme de 27, je ne pourrait même pas étre votre pére. Votre oncle ou grand frére a la rigueur. Au fait je me nomme Jonathan."

Il sourit pour la rassuré, lui prouver qu'il n'avait aucune mauvaise intention derriére son invitation.

(Jonathan) - alors pas de café, vous me dites ce qui vous convient, même si c'est du champagnes.
(Léa) - < Il s' attend à quoi? Que je soie alcool? > Non hum sa sera un jus de fruit pour moi. J' aime pas l' alcool... sa fait des effet que j' aime guerre... la première et seule fois que j' en ai bu je disais je t' aime à tous le monde se qui entraina conflit entre les garçon. Puis je me suis reveillée sur les cuvette des WC remplit de vomi.

Léa raconta avec entousiame avant de se rendre compte qu' elle racontait sa vie à un inconnu rencontrer il y a même pas 10 minutes.

(Jonathan)- il ne faut pas se cacher. Nos pouvoirs respectifs doivent nous permettrent de nous défendre non ?
(Léa) - Parfois faut mieux rester discret en Amérique d' après se que j' ai appris sur ce continent... je ne l' aurait pas vu du même oeil si j' étais normale...

Puis alors que Léa lui avait demander son travail, il lui répondit, avec toujours son sourire narquois qu' i létait :

(Jonathan) - je suis assureur, je venait voir les dégats ici. Le bar sera remboursé, les automobiliste sous faisant n'importe quoi de nos jours

Léa le regarda de nouveau. Un homme vêtue de la sorte... les assureur ne sont pas habiller en sotard d' habitude? Quoique on est en Amérique rien est pareil...

(Léa) - Assureur... sa doit être sympas de venir constater les dégats des autres... fascinant.

Puis alors que Léa entama la discution par rapport leur âg, il répondit aussitôt avec fiereté :

(Jonathan)- vous savez, boire un café avec une fille 'nimplique pour moi rien d'autre que...boire un café. OU aute choses vue que vous n'aimez pas le café. A 17 ans cela n'a rien d'incovenant de voire avec un homme de 27, je ne pourrait même pas étre votre pére. Votre oncle ou grand frére a la rigueur...

Puis il poursuiva par son prénom :

(Jonathan) - ... Au fait je me nomme Jonathan.

Léa, qui regardait le comptoir, écarquilla ses yeux en entendant son nom. Jonathan. Elle resta comme ça pendant envrion 10 secondes avant de tourner la tête vers lui, tout doucement, l' expression de surprise figer sur son visage.

(Léa) - < je rêve... bientôt il va me demander de venir chez lui quand il y est > Oh... euh.. j' avais pas vu l' heure... je... j' ai...

Elle ne savait pas trop quoi choisir comme excuse. Elle commançait à rougir quand elle décida de dire son nom.

(Léa) - ... Léa. je m' appelle Léa.

Léa ne dit plus rien, regardant droit devant elle.

"bah, l'amérique c'est le pays de toute les extravagance, de tout les éxtrémes, bon comme mauvais. Ici tout es possible est ce n'est pas toujours une bonne chose"

Il haussa un sourcil a l'histoire de la premiére cuite de la jeune fille et imagina parfaitement la scéne. Alors amusé il répondit

"dans ce cas on va éviter le champagnes effectivement, on se contentera de jus de fruit."

Il alla s'assoir au bord et commanda deux jus de fruit, un jus de pomme et...

"qu'elle jus de fruit ? orange, pomme, abricot ?"

Il remarqua son trouble en la voyant rougir. Elle semblait croire qu'il n'avait pour but que de la dragué. Sa température augmenta au niveau du visage, signe qu'elle rougissait. La regardant avec un sourire il demanda

"vous pensez vraiment que je vous drague ? Je vous rassure, cela n'est nullement mon intention. Vous n'étes pas trop jeunes pour étre une amie, mais peut ètre un peu pour étre un conquéte amoureuse. Ne strésser pas comme sa, je ne fait que m'escusé de vous avoir bousculé"

cela l'amusé de voir cette jeune femme intimidé par lef ait de prendre un jus de fruit avec lui...il ne sentait pourtant pas veillard.

Il tira l'argent de sa poche et utlisa son pouvoirs pour allé les déposé dans celle du barman. Il regarda ensuite Léa

"vous préférer donc vous cacher que vous montrer ? avez vous honte de vos dons ? Qu'elles sont-il si cela n'est pas indiscret."

cela ne pouvait pas étre plus intimes que de vomir dans les toilettes non ? il avait parlé doucement de maniére a ne pas l'embarassé devant les gens, même si lui ne caché pas ses dons.

(Léa) - Jus de pomme pour moi sa ira... par contre... j' ai pas d' argent sur moi... je suis... enfin j' ai été emmenée sans le saovir ici en Amérique pendant que.... enfin passons j' ai pas d' argent.

Mais apaprement Jonathan allait payer pour elle il sortit des billet de sa porche. Elle rougissa, signe de timidité incontrolable pour sa part étant un de ses grand défaut. Oui Léa à plus de défaut que de qualité : curieuse, timide, insociable... et quand elle s' y met, insortable. Avant de découvrir sa mutation, Léa, avec son amie Susane, sortait dans les rues et par amusant, sonner chez les gens faisait de la pub pour des produit du genre le St-Morret juste pour rigoler... se qui déplaisait pas mal de personnes. Sonner chez des gens et courir se cacher les faisaient rire aussi. Elles s' amusait comme des folles.

(Jonathan) - vous pensez vraiment que je vous drague ? Je vous rassure, cela n'est nullement mon intention. Vous n'étes pas trop jeunes pour étre une amie, mais peut ètre un peu pour étre un conquéte amoureuse. Ne strésser pas comme sa, je ne fait que m'escusé de vous avoir bousculé
(Léa) - < Mais d' où il sait ça lui?! Il me cache qu' il est télépathe?! > bah euh... que... non... oui ... enfin euh... je veux dire...

Léa se mit à bafouiller une fois de plus. Jonathan se mit à rire.

(Léa) - Et sa vous amuse de.... de... de gêner les filles... avec votre cigarette à l' oreille... sa fait un style...

Puis elle dit tou bas :

(Léa) - ...un style de mafia...

Puis il lui demanda si elle préférait se cacher au lieu de montrer sa vrai nature. Sauf que se qu' il ne sait aps c' est que son pouvoir est un des plus dangereux et incontrolable. Comme celui de Malicia, à la toucher elle absorbe psyché, pouvoir si la victime est une mutante et apparence. L' apparence est plus au moins précis celon la durer de toucher entre Léa et la victime. Pour les poivoirs ils durent plus ou moins longtemps celon la toucher entre la victime et Léa. Quand à la psyché elle reste à jamais gravé dans la mémoire de Léa mais au fil des années des souvenris de la victime s' effacent comme tous le monde... on ne retient pas tout. Jonathan lui demanda aussitôt qu' elle était la nature de ses pouvoirs.

(Léa) - Et bien j' ai mes raisons de me cacher. Voyez vous si je vous touche vous hurlerez pire qu' un chien hurlant à la mort et vous risquez de mourir. A l' heure actuel les gens que j' ai touchée sont mort... d' après se que l' on m' a dit que si ma peau rentre en contact avec la peau de quelqu' un d' autre, j' absorbe la psyché : souvenir, caractères, manière etc... les pouvoirs mutant si la victime est un mutant et l' apparence. Apparement tout cela celon la durer de la toucher entre moi et la victime. Si je vous touche quleques seconde sj' aurai votre pouvoirs genre 10 minutes et une apparence peu identique à la votre. La psyché quand a elle sera flou mais les souvenir reste et s' efface avec les années. Par contre si je vous touche 10 fois plus longtemps déjà vous avez plus de chance de mourir mais non seulement j' aurai la psyché et les souvenir plus longtmeps, vos pouvoirs plus longtemps mais aussi votre apparence plus précis voir identique. Sa fait peur hein? c' est les mutants de l' Institut Machin qui m' ont dit ça...

Léa baissa la tête tirant une triste mine. Avoir raconter cela fit surface à tous les mauvais souvenirs : ceux d' avoir tuer ses parents, sa rivale, son premier grand amours...

"je paie, c'est l'avantage d'étre un vieux, on a un salaire."

Il l'observa bafouillé de nouveau et se dit que si lui pouvait parfaitement caché ses sentiments et simuler n'importe qu'elle émotions, elle c'était le contraire. Mêmes sans pouvoirs on aurait put lire en elle comme dans un livre ouvert.

"oui? non ? Enfin quoi que tu pense je te rassure. Tu est simpathique, mais tu est trop jeune pour moi."

Il souriait amusé lorsqu'elle lui demanda si cela l'amusé de géner les filles et il répondit avec une voix joyeuse

"non sa ne m'amuse pas en général, mais ilm est rare que je les génes sans rien leur dire de spécial. Quand je cherche a géner une personne je comprend qu'elle soit troublé, mais en général quand je ne fait rien...elle ne rougisse pas."

Elle parla de sa cigarette et avec un rire il l'enleva et la remis dans le paquet dans la poche de son manteau

"voila pour le style mafieu...je sais lire sur les lévres, sa fait partie de mon don. Tout analiser, rapelle toi. C'est automatique. Ainsi je saurai si tu rougissait sans même voir ton visage."

Elle lui décrit son visage et a la fin de la description il acquiessa et sembla réfléchir

"évidamment c'est pas facile a vivre. Tu doit faire attention a ne jamais tucher personnes, et tu ne peut évidamment pas porter un panneau "je fait du mal au toucher".

Elle parla d'une association et il tiqua

"L'institut comment ?"

Il avait une proposition de contract sir un membre d'institut et il n'avait pas encore décider si il accépter le contract ou non, par manque d'informations. Cette gamine pourrait peut ètre lui en donné.

"Je ne peut pas comprendre ce que tu rescent, mais je peut l'imaginer. Mais sache que tu saura de mieu en mieu controler se don, jusqu'au jour ou tu arrivera a touchr les gens sans les tuer. Mais pour cela il ne faut pas rester prostré sur cette malchance apparantre. Pour controler un pouvoirs il faut d'abords l'accépter et aprés seulement. Il tapa sur le bar ou une piéce s'envola et retomba sur le bouton d'ouverture du tiroir caisse que le barman allé ouvrir Aprés seulement tu apprendra a le controler."

Il fut interesser soudainement par l' Institut Xavier. Pourquoi? Aucune idée il insista sur le nom et Léa se répéta.

(Léa) - D' après vous comment je suis arrivée en Amérique en l' espace d' une heure? Un groupe de mutant nommait l' X-Factor m' on emmené ici, en Amérique pour que j' ai un hébergement. Et j' ai atterit dans le plus célèbres mais pour moi le plus invivable d' hébergement mutant : l' Institut Xavier où vivent les fameux X-Men... Vous vous rappellez quand ce Professeur Xavier à avouer être un mutant et chef des X-Men et que sa déclaration a été diffusé dans le monde entié? bah voilà je suis chez lui maintenant. Et c' est pas le paradi. Tout va bien mais moi rester là bas enfermer une journée je me pend... Pourquoi sa vous intéresse tant alors que vous vous débrouillez bien sans eux?

Puis Léa réalisa qu' elle venait de poser une question qui ne la regardait strictement pas.

(Léa) - Oh... excusez moi de l' indiscrétion.

Elle posa ses coudes sur le comptoir du bar. Léa regarda un peu autour d' elle et se demandait si elle était vraiment mutante... parler de leur vie mutante et personne réagissait même ceux qui écoutait. Puis reporta son regard sur ceux de Jonathan, ses petits yeux noir et amusé qui allaient en parfaite harmonie avec son petit sourire narquois. Puis il essaya de la réconforté en lui explicant qu' un jour elle pourra toucher quelqu' un.

(Léa) - < Il peut analysé oay mais pas savoir si je pourrai toucher quelqu' un. Encore un professeur de moral lui... >

Puis au même moment où il tapa sur le comptoir, une pièce voltigea et retomba dans la caisse du barman qui venait juste de l' ouvrir. Léa regarda la caisse stupéfaite puis redéposa son regard sur celui de Jonathan et lui fit un signe de tête en guise de félicitation.

(Léa) - Sa fait même pas une semaine que je suis là... faudrai quand même que je reprenne mes études...

Puis Léa enleva son bonnet pour laisser un peu de légereté à ses cheveux quié tait compacté sous son bonnet. elle mit ses cheveux chatain ondulé en vrac puis les remit en arrière. Jonathan la regardait faire, sans gêne, comme si elle était dans un salon de beauté.

(Léa) - Quoi? Vous avez jamais vu une fille se recoiffer?

"parceque si je peut me renseigner sur les association qui prétende aider les mutants je le fait. Trop de personnes prétende combattre pour les droits mutants mais ne font finalement que chercher l'éxtermination de homo sapiens sapiens. Cela même qui apelle ceux de notre genre des homo sapiens superior. Je pense par exemple a la confrérie. Ces gens ne font que dénigrer notre images. Et donc je voudrai savoir si cette institut Xaier est dans se genre."

De plus son contrat porté sur une éléves de cette institut. Il ne savait pas encore si il allait accépter et pour cela il allé devoir pénétrer dans l'institut. Et cette fille pourrait l'y aider.

"ce n'est pas de 'lindisctrétion, c'est normal de te démander pourquoi je te pose des questions."

Elle parla de ses études et il acquiessa

"ouaip les études, rien de plus important il parait. Il te donnerons des cour dans ta fameuse institut ?"

Si oui il avait trouver comment infiltré l'institut: devenir prof. Pour devenir flics il avait été a l'université, il était plutot bon a l'époque et il aurait put donné des cours dans certaines matiéres.

Elle lui demanda si il n'avait jamais vue une fille se recoiffé et il répondit avec un ton amusé il dit

"non, c'est juste que je regarde els personnes auquel je parle."

Il se demandai pourquoi elle était a se point sur la défensive, il n'avait pas l'impression d'avoir l'air dangereux, son arme était bien caché. Il but tranquillement son verre de jus de pomme

"tu est venue au état unis pour quelles raisons, si ce n'est pas indiscret ?"

Il avait toujours son sourire narquois qui lui donnait un charme un peu provocateur et limite enérvant

(Léa) - Confrérie? C' est qui ça? Une autre Institut Xavier qui habrite un nouveau groupe d' X-Men?

Léa n' avait jamais entendu parler de la "Confrérie". Pour cause, laConfrérie des Mauvais mutant n' a jamais été connu dans le monde entier sauf quand l' imposteur de Magnéto changea New York en New genosha avec sa nouvelle Confrérie des mauvais Mutant. Mais à ce moment là Léa habitait encore en france avec sa famille et ses amis et la presse avait juste dit que c' était le Terroriste mutant Magnéto qui avait fait ce mélodrame et n' avait mentionner aucun nom de Confrérie. Léa commença à boire son verre de jus de pomme. Puis Jonathan lui posa la question :

(Jonathan) : tu est venue au état unis pour quelles raisons, si ce n'est pas indiscret ?

Léa ne répondit pas aussitôt. Elle c' était immobilisée ne sachant pas si elle devait lui dire la vérité ou non. Finalement après lui avoir raconté multitude de chose sur elle, pourquoi pas continuer.

(Léa) - Lors d' une soirée organisait par ma meilleure amie Susane, ma rival a fait montée la pression... et mon pouvoir c' est activé alors qu' elle m' étrangler. Je les réduit en squelette ambulant... le même soir mon premier grand amour me touche et je l' ai réduit en squelette aussi...

Léa commença à laisser couler des larmes, roulant sur ses joue, pour finir sur le comptoir du bar. Mais elle continua.

(Léa) - ... Le lendemain mes parents me retrouve... même si je les ai mit engarde il m' on prit pour une folle... et je les ai tuée.......... ainsi que mon frère en me pinçant pour me taquiner!

Léa se lacha et partit en sanglot.

(Léa) - Puis j' ai rencontrée Redangel, un mutant... puis ont a été sauvagement tabasser par dans raciste anti-mutant... avant d' être rejoind par un autre mutant qui controle le vent... puis je me suis évanouie. Apparement un groupe de super-héros nommer X-Facotr nous ont emmenés ici, en Amérique pour avoir des soin à l' Institut Xavier.... veuillez m' excusez...

Léa sortit dehors, pour ne pas avoir le regard des autres braquer sur elle, qui pleurait à chaude larme.

"se sont des mutant anti humanité. De se que l'on connait d'eux ils pasent leur temps a chercher différent moyen de détruire l'humanité non mutante ou pour la réduire a l'esclavagisme...bref pas des enfant de coeur, dirigé par un certain Magneto."

Puis elle commenca a lui raconter son histoire et alors son sourire narquois s'éffaca pour laisser place a un air profondément atristé et compatissant. Cette gamine avait vécues des choses que beaucoup de personnes n'aurait pas pus survivre et aurait sans doute mit fin a leur jour.

Il écouta respéctueusement jusqu'a la fin et lorsqu'elle sortit précipitament il se leva et la suivit en marchant regardant un homme qui commencai a ouvrir la bouche pour se moquer d'elle vut l'état d'éxitation de son cerveau, pour impréssionné sa compagne. Jo le foudraya du regard et d'une voie acérée comme un couteau lacha

"toi tu dit quoi que se soit sur cette gamine et tu ne parlera plus jamais de ta vie, personne ne retrouvera ton corp."

Le badaud ferma alors sa bouche et Sniper sortit et se placa a coté de Léa, en regardant le troittoir d'en face, fixement. Il parla d'une voix calme et emprunt de sagesse qui contrastait avec son attitude narquoise présédente

"j'admire ton courage."

Il sortit un mouchoir blanc de sa poche et le tendit a la jeune femme pour qu'elle essuie ses larmes

"beaucoup de gens aurait craqué, mais toi tu reste en vie. J'admire ta detérmination. Bravo, tu est déja plus mature que je ne le serais sans doute jamais."

Cela était faut mais il ne se rendait pas compte. Il savait étre parfaitement mature, en se moment il l'était d'ailleur. Il avait vécue la mort de ses meilleur amis, de ses parents. Il avait tué de nmbreuses personnes et fait un bon bout de chemin. Et il s'était toujours battue pour vivre. Peu importe la maniére, peu importe els imprévue

"bravo."

Jonathan sortit à son tour et se plaça à côté de Léa, cette dernière le visage en pleure dans ses amins ganté par des gant en soie blanc. Il lu ifit les compliments que c' était déjà courageux de la part de Léa d' avoir surmonter tant d' épreuve sans se suicider. Lèa leva la tête et prit le mouchoir qui lui tendait Jonathan.

(Léa) - Merci...

Puis Léa pensa au suicide. Puis elle se dit comme si un miracle venait d' arriver.

(Léa) - < Le suicide... pourquoi n' ai-je pas pensée plutôt? >

"de rien."

Il préférait se taire dans ses moments la pour ne pas risquer de froisser la personne en face de lui. Ele avait l'air de se calmer et il dit

"excuse moi de tavoir demander de me parler de sa, apparament c'est quelquechose qui te fait encore souffrir."

Il joué avec un piéce, la lancant et la ratrappant.

"si sa peu te rassurer, mes pouvoirs n'on jamais tuer personnes, mais par ma fautes tout ce que je pouvait considérer comme une famille est décédé. Je me suis vengé et sa ne m'a rien apporter, alors ne te venge pas sur toi méme, au contraire vit, pour ses gens qui sont mort, toi tu doit continué de vivre."

Léa essuya ses yeux avec le mouchoir que lui avait donné Jonathan. Ce dernier lui expliqua que ses pouvoirs n' avaient jamais tués personne. Léa regarda sa montre. Elle rangea ses cheveux derrière ses oreilles et lui demanda :

(Léa) - Vous voulez que je vous montre le paradis des mutant? L' Institut Xavier quoi? Qui sait... vous deviendrez peut-être un X-Man et vous sauverez le monde contre les méchants.

"le paradis mutant...j sais pas pourquoi je le voit plus comme un refuge, mais je te suis si tu veut."

Il éclata de rire lorsqu'elle s'imagina qu'il pourait devenir un x-man et sauver le monde contre les méchant, puis lacha avec un clin d'oeil

"peut ètre que je suis le méchant."

Puis il se placa au bord du taxi et poussa un sifflement qui arréta un taxi.

"institut xavier si il vous plait."

Le chauffeur commenca a les obseerver d'un oeil suspect mais le regard que lui lanca le dissuada de tout commentaire

"tu monte ?"

demanda-il en ouvrant la porte la jeune femme

Il éclata de rire quand il entendit Léa dire qu' il pourrait devenir X-Man. Puis il appela un Taxi et lui dit :

(Jonathan) - Tu montes?
(Léa) - Merci. < Très galant... il sait faire avec les filles celui là. >

Puis Léa monta dans le taxi suivit de Jonathan et le taxi partit direction l' Institut Xavier.

(La suite à l' Insitut Xavier =))