Perdu? Nous? Jamais ! [Redangel]

"il a l'air sur de ou il va Minuit..."

Lorsqu'il arrivére dans le lieu, guidés par le corbeau, Redangel éclata de rire

"a mon humble avis, il ne c'est pas trompé...évitons qu'il fasse trop de dégats."

A peine eu-t-il prononcer ses mots que Tatouille jaillit de sa poche. Mais redangel le rattrapa in extremis,juste avant que ses petites pattes touche le sol. Il regarda autour de lui, en ésprérant que personnes ne pousserait des cris...mais le rongeur semblait étre passer innapercu

"ouf..."

Redangel fit un sourire lorsqu'elle sembla ravit a l'aider de prendre des kilos...dicédement cette fille semblait original, et lui même l'étant, sa ne lui déplaisait pas trop.

"Tu me feras penser a revenir ici aprés notre inscription...parceque cette odeur me donne une de ces faim !!!"

Pour répondre en échos son ventre gargouilla

"oups, désolé...si seulement je controler mieux mon pouvoir, je nous ferai apparaitre un bon rotis !!!"

Il haussa les épaules d'un air désolé devant son rire

"mon estomac, c'est commes mes pouvoirs, je le controle pas tout a fait."

Il ergarda l'animal noir s'envoler et prendre une pomme avec intérré. il semblait intélligent, entiérement dévoué a sa maitresse. Un mouvement dans sa poche lui rapella que lui aussi avait un chasseur de nourriture avec lui. Il prit le rongeur, lui murmurra quelquechose dans l'oreille, puis le posa sur le sol. Alors celui ci fila, disparut un instant puis revint en tenant une graape de raisin par la queux, entre ses petite machoire. Alors Redangel lui donna deux grain qu'il posa sur la table et le rat s'amusa avec, avant de les manger, tandis que son maitre coupé la queux ayanr été dans la bouche, puis partagé les grin verts

"oui une pomme sa fera pas de mal, et des raisins non plus."

Il dispraut ensuite sous la table et donna sa part a minuit en éspérant ne pas se faire pincer les doigts

"dit moi qu'il ne mord pas..."

La voix du jeune homme été a la fois riante...mais peu rassuré tout de même

"non pas que je tienne a mes doigts...mais un petit peu quand même."

"ha....tu aurai pas des pouvoirs de guérrison au cas ou ?"

Finalement aprés, l'histoire du chat Redangel se dit qu'il risquait juste un sauvage corp a corp avec Minuit. Il passa sa main avec les grains de raisins sous la table et dit avec un sourire peu rassuré

"de toute facon si il me griffe moi je le mord, tu est d'accord ?"

Il attrapa un grain qu'il jetta en l'air et ratrappa dans sa bouche directement, en plein vol...puis se rendant compte de l'impolitesse de ce jeu il rougit confue et haussa les épaules

"Désolé, mauvaise habitude acquis dans la rue, lorsqu'on s'ennuie sec, tout seul, dans le froid, en regaradnt les passant..."

Il se sentait un peu ridicule, mal élevé et gauche...Il se gratta la téte, en signe de géne

Il la regarda lorsqu'elle parla de la Norvége

"tu as déja été en Norvége ? quelle chance, mais je ne connait que la france, et les état unis...bref le pays ou je suis née, et le pays ou je me suis éxilé...c'est comment la Norvége ?"

"tu parle trés bien anglais alors, je n'est pas détécté la moindre trace d'accent dans ta voix."

Il haussa un sourcil devant l'air soudainement étonéé et abasourdie de la jeune femme, craignant d'avoir fait ou dit quelquechose qu'il ne fallait pas.

Elle lui poas alors une question qu'il nota bien: elle avait dit "aussi". Ils se ressemblaient donc vraiment, ayant vécue pareillement mais dans deux pays différent.

Ses réfléxions lui prirent quelques seconde, mais il secoua la téte pour se sortire de ses pensé et pour répondre


"oui, dés que j'ai eu quinze ans, le jour ou mes pouvoirs se sont maniféster et qu'un crocodile a envahit la baignoire familliale. Si je comprend bien toi aussi tu a vécue dans les rue ? "


Il n'était pas outré par la réactions de la jeune femme, sachant parfaitement qu'il n'avait rien du parfait gentleman, se contentant parfoit de singer les bonnes manier, ou d'obéir au plus basique. Mais si son look décalé ne ressemblait pas a celui d'un sdf c'est que le vol faisait partie de ses talent, et aussi grace a sa "magie" qui parfois faisait apparaitre les bonne choses au bon moment

Redangel tenta d'expliquer son pouvoir

"je fait réellement apparaitre ses choses. Je l'est créer a partir d'une énérgie rouge. Mais ce ne sont que des choses qui existe déja. De plus je ne peut choisir qu'un seul critére : vivant ou matérielle. Sinon c'est le hazard totale. De la passoire a la rape a fromage, de la souris au tigre. De plus, a part Tatouille, tout disparait dés que je ne l'utilise plus..."

Il regarda amusé son air réveur. Beaucoup de monde refaisait le monde en imaginant ce qui se passerait si il s avait les même pouvoirs que lui.

Il l'écouta ensuite attentivement raconté ses aventures a elles, puis exlpiqué ses pouvoirs

"sa peut étre utile...et l'éléctricité, sa peut étre trés intérréssant, mais c'est sur que si on manipule mal se don sa doit faire mal..."

Redangel avait finie tout ses raisins, il entama la pomme

"tu est venue au Etat unis pour quoi, si ce n'est pas indiscret ?"

redangel avait écouter attentivement le récit de la jeune femme, ne l'interrompant pas, la regardant droit dans le syeux, comme un avant absorbé par une belle histoire. Quand elle conclue en disant que sa conduite n'avait rien de courageux il la contredit gentiment avec un clin d'oeil complice

"si prendr un bateau seul, clandestinement, vivre dans la rue, voler pour survivre, si tout cela n'est pas courageux, alors qu'est ce que le courage ?"

Puis elle lui demanda si il avait mieu a raconter. Il haussa les épaules

"je ne suis pas sur que se soit trés passionnant"

Et il commenca a conté comment son pére, anti mutant, élitiste au possible, l'avait mit dehors, a cause d'objet et d'animaux apparaut soudainement aprés une dispute. il expliqua ses années passé dans un gang d erue, comment ses mais de l'époque c'était fait battre a mort, malgré leur pouvoirs, par des étudiant pro humain. et comment lui même ne devait sa vie qu'a l'intervention miraculeuse d'un rat...

Puis il parla de sa vie dans la rue, des combats contre d'autrezonard, de comment il avait due apprendre a ne pas trop compter sur son pouvoir trops hazardeux, il expliqua sa rencontre avec Léa, et donc comment il c'était retrouver ici...

Il avait un véritable talent de compteur, sachant mélé humour et suspense, avec une pointe de dramatique.

Finalement il écarta les bras et conlue

"voila en résumé toute l'histoire de ma vie, tu voit, rien de grandiose..."

La jeune et blonde Iris se contenta de l'écouter avec un interêt prononcé. Pour deux inconnus qui venaient de se rencontrer les deux jeunes gens semblaient pourtant déjà bien se connaître et pourtant... Le monde dans lequel vivait Shad' n'avait rien à voir avec le monde des autres. Chez elle, toutes sortes de nouvelles questions se posent dans sa tête...Y a-t-il un jour où les étoiles vont s'éteindre? Comment savoir si les dinausore ont réelement disparus de la planète? Les aveugles comment imaginent-ils le monde réel? Savent-ils ce que les couleurs représentent? Bref dans la petite tête de Shadow résidait toutes sortes de questions incongrues bien cachée au cas où elle trouverait une personne capable de répondre,...En attendant le récit de redangel la fascina on aurait dit un feuilleton américain qui ne se termine jamais, passionnant !

Elle sourit lorsqu'il conclut et lui rendit son clin d'oeil, puis elle se redressa et imita un baillement convainquant.

-"Très ennuyeux en effet..."

Puis éclata d'un petit rire (plutot un hennissement grotesque, la jeune femme n'était pas adepte des gracieuses manières de séduction,..hum)

-"Dis moi,...As-tu déjà pensé faire un truc irréalisable pour les autres,...je veux dire,...Que tu sois convaincu que tout les êtres humains savaient volés, mais que cette facultée avait disparue car peu de gens y croyait plus à la fin,...Et que persuadé tu te dresse sur un toit et pense tres fort que tu y croit, pour ensuite de ramasser par terre?"

Elle arrêta un teps puis secoua la tête négativement.

-"Je ne suis pas claire,..."

Il prit un air faussement en colére

"hum c'est pas bien de se moquer"

Puis redevenant normal il ajouta

"non vraiment, mon récit est celui de nombreux autre ados, qui se retrouve dehors a cause de leur pouvoir. Certains on de la chance, comme moi, et survivre malgré les dangers. mais d'autres y restent."

Il serrait les poings sous la table, énerver par une société laissant mourrir des enfants a cause de leurs différence. Avant c'était les noirs, maintenant les mutant. le monde semblait condamné au racisme pur et dur...mais readngel lui ne se condamné pas a subir le monde sans rien faire.

Sortant de ses pensés de rebéllion il sourit a Shadown qui riait

"cela fait plaisir de voir quelqu'un rire comme sa."*

Il aimait voir le bonheur des gens. Cela lui en donné a lui.

Puis elle lui posa une questions qu'il comprit tout de suite et il répondit tout a la rassurant

"t'inquiéte, j'ai compris l'idée. Moi plus jeune je passait des minutes devant mon miroir en attendant de voir des oreilles d'elfes me pousser...je croit que la magie des contes existe. C'était surement des mutants qui on inspirait ses légends quand on y pense. mais els dragons n'était pas des mutants, pourtant j'ai longtemps srcuté le ciel pour en voir voler un."

Comment décrire un dragon ? tout dépendait d'abord de son origine, oriental ou occidentale. Il tentant de répondre le mieux posible

"se sont de grand reptile. Dans les civilisation orientale il crache du feu et vole avec d'immensse ailes, tandis que en orient il sont des créature de l'eau, longue et sinueuse."


Elle lui demanda si il povuait lui conté quelque chose il il chercha dans sa mémoire un contes simple. Il commenca alors a raconter:

"Il y avait autrefois au sud de l'île de Man un fermier qui s'appelait Colcheragh. Il avait des volailles dans sa ferme, des moutons sur la montagne et du bétail dans un pré qui descendait vers le fleuve. Ses vaches étaient les meilleures de toute la paroisse. Nulle part ailleurs on ne pouvait voir de bêtes plus belles ; elles faisaient sa fierté et lui donnaient du lait et beurre en abondance.

Cependant un jour, le comportement de ses vaches changea. En se rendant à l'étable comme il le faisait chaque matin pour commencer sa journée, il vit ses vaches tellement fatiguées qu'elles pouvaient à peine tenir debout. Quand vînt le moment de la traite, les filles de ferme revinrent avec les bidons vides : "Le lait est remonté dans les pis !"
Colcheragh se dit que quelqu'un des environs avait dû leur jeter le mauvais oeil. Il prit une pelle, s'en alla ramassa un peu de poussière aux Quatre Routes et la dissémina sur leurs dos. Les vaches n'allèrent pas mieux. Alors il se demanda si quelqu'un des environs ne venait pas la nuit pour leur voler leur lait. Il décida donc de s'asseoir dans l'étable toute la nuit pour voir s'il pourrait surprendre le voleur.

Une nuit, comme tout le monde était couché, il sortit subrepticement de la maison et alla se cacher sous un meule de paille dans un coin de l'étable. Les heures s'égrenaient les unes après les autres et il n'entendait rien d'autre que les vaches qui respiraient ou s'agitaient. Il commençait à avoir très froid et se sentait tout engourdi et courbatu. Il était sur le point de rentrer quand il aperçut une lumière miroiter sous la porte. Il entendit des rires et une langue étrange qui n'était pas celle de ceux auxquels il avait pensé. La porte de l'étable s'ouvrit et un grand nombre de petits hommes, portant des manteaux verts et des chapeaux en cuir, s'y engouffrèrent.

En épiant par un trou dans la paille, il vit leurs trompes accrochées à leurs côtés, leurs fouets dans les mains et un grand nombre de petits chiens de toutes les couleurs : verts, bleus, jaunes ou écarlates, sur leurs talons. Les vaches se couchèrent. Les petits camarades desserrèrent les liens qui les entravaient et sautèrent sur leur dos. Ils étaient à peu près une douzaine par vache. Ils firent claquer leurs fouets. Les vaches se relevèrent et partirent en galopant.

Colcheragh se précipita dans son écurie, monta sur un cheval et partit à la poursuite de ses vaches. La nuit était sombre, mais il pouvait entendre le sifflement des petits fouets dans les airs, le claquement des sabots des vaches sur les pierres et les encouragements aux chiens : "Ouais, ouais, ouais". Il entendait également les rires, les appels des chiens par leur nom et les ordres qu'on leur donnait : "La de Ho, La de ho, La!"

Colcheragh suivait ces bruits, à courte distance. Ils filaient, franchissaient les haies et les fossés n'importe comment jusqu'à ce qu'ils aient atteint une colline. Colcheragh les suivait toujours. N'importe quelle autre nuit, il ne se serait pas approché à moins d'un mille du grand monticule vert. Arrivés là, les petits camarades se mirent à souffler dans leurs trompes : "ta-Ra-Ra". La colline s'ouvrit, une lumière éclatante se répandit dehors accompagnée d'airs de musique et du brouhaha indiquant qu'il y avait là grande réjouissance. Les petits camarades pénétrèrent à l'intérieur et Colcheragh, descendu de son cheval, se faufila à leur suite sans se faire voir. La colline se referma sur eux. Le fermier se retrouva dans une superbe salle, aussi claire et lumineuse qu'un midi d'été. Elle était pleine de lutins jeunes et vieux, hommes et femmes, comme il n'en avait jamais vus. Parmi eux, il aperçut quelques visages familiers, mais il n'y prêta pas davantage d'attention que eux à lui. D'un côté, on dansait sur la musique de Hom Mooar qui était le nom du violoneux et quand il jouait tous les hommes devaient le suivre qu'ils en aient envie ou non. La danse était comme celle des fleurs dans le vent, une danse comme il n'en avait encore jamais vue.

De l'autre côté, ses vaches étaient tuées et rôties. Quand la danse fut terminée, il y eut un grand festin sur un grand nombre de tables où tous les couverts étaient en argent et en or dans lesquels on servit tout ce qui pouvait s'imaginer de meilleur à manger et à boire. Il y avait des rôtis et du bouilli, sollaghan et cowree, et puddings et pâtés en croûte, et jough et vin, un véritable régal digne de la table du gouverneur.

Au moment où ils allaient s'asseoir, l'un d'Eux, sur le visage duquel il put lire qu'il savait qui il était, lui chuchota : " Ne touche à rien de tout ça si tu ne veux pas devenir comme moi et si tu souhaites retourner chez toi".

Colcheragh prit bonne note de ce conseil. Quand le festin se termina, il y eut un cri pour les joughy-dorrys, le coup de l'étrier. Quelqu'un alla chercher un gobelet. Celui des lutins qui semblait être le roi, le remplit de vin rouge, but et le fit passer. Il passa de main en main et parvînt ainsi jusqu'à Colcheragh. Quand il l'eut entre les mains, il vit qu'il était en argent si finement travaillé et bien plus beau que tout ce qu'il avait jamais pu voir. Il se dit en lui-même :"Ces petits camarades ont volé, tué et mangé mon bétail. Si je m'empare de ce gobelet, il me remboursera de tous les torts qu'ils m'ont causés". Alors il se leva et brandissant le gobelet d'argent, il dit : "Shoh Slaynt !" qui est le toast qu'on porte à l'île de Man. Puis il en projeta le contenu sur les chandelles. En un instant, l'endroit fut plongé dans l'obscurité la plus noire.

Un petit filet de la lumière grise de l'aube passait par la fente de la porte mal fermée. Colcheragh, tenant bien le gobelet, s'échappa en claquant la porte derrière lui et se mit à courir en sachant que sa vie était en jeu.
Après un moment d'affolement, les Petits Camarades s'aperçurent que le gobelet et Colcheragh avaient disparu. Avec des hurlements de fureur, ils sortirent de la colline et entreprirent de le prendre en chasse. Le fermier courait comme il n'avait jamais couru. Il savait qu'il n'obtiendrait aucune pitié s'ils réussissaient à l'attraper. Il s'enfonça dans le marais en marchant sur les pierres qui en émergeaient : il savait que les lutins ne pourraient pas se saisir de lui dans l'eau. En regardant par-dessus son épaule, il aperçut la cohue dont les bras ondulaient à la lumière des flambeaux et il entendait leurs cris perçants et leurs hurlements :
"Colcheragh, Colcheragh ! Pose bien ton pied sur la pierre ! Ne le mets surtout pas dans la tourbe humide !"

Lui, continuait de courir. Il courut dans l'eau jusqu'à ce qu'il ait atteint le cimetière. Là, ils ne pouvaient plus rien contre lui.
Quand il rentra dans son étable, le matin suivant, toutes ses vaches étaient revenues et ne furent plus jamais dérangées. Il déposa le gobelet dans l'église de Rushen et on dit qu'il y resta longtemps avant d'être envoyé à Londres.

C'est à la suite de cette mésaventure qu'il est déconseillé au fermier de sortir de chez lui après la tombée de la nuit. "

aprés avoir conter cela il s'arréta et la regarda avec un sourire

"voila, j'éspére que cela t'a plus."

Ilavait conter en mettant le ton, installant une ambiance féerique rien que par le son de sa voix.

Il attendait a présent sa réactions.

Il fut ravie de la réaction de la jenue femme qui semblait avoir appricier l'histoire, et l'avoir suivit dans son intégralité. Elle lui demanda ou il avait connue se compte et il haussa les épaules

"j'adore toutes les légendes, les mythes, les comptes, bref tout ce qui touche de prés ou de loin a l'imaginaire"

Il regarda l'horloge au dessus de la porte d'entré de la cafétéria et ergarda Iris pour lui dire

"il faudrai qu'on trouve ces bureaux maintenant non ?"

Il se leva et alla jeter les reste de leur colation, soit quelques grappes de raisins et troignon de pomme. Il donna un bout de baton de réglisse a Tatouil pour que celui ci puisse se faire les dents, puis ervint a la table, se tenant debout en attendant que la jeune femme soit préte a partir.

"on essaie qu'elle couloir maintenant ? gauche, droite ? les deux a la fois ?"

UN sourire se déssinait sur ses lévres, montrant qu'il n'était pas impatient de partir ni en train de s'ennuyer. Juste qu'il préféré s'inscrire avant que les bureaux ne ferme, puis continuer plus tard leurs exploration.

une question lui passa par l'esprit

"tu croit que c'est un systéme d'internat ici ? genre chacun dans son quartier, couvre feu, douche a heure fixes, pareil pour les repas...j'éspére que non, les régles c'est vraiment pas mon truc."

[i]Il mit les mains dans les poches et tritura machinalement un papier qui s'y trouvait. Il venait de penser a un point noir qui risquait de se présenter et de finalement compromettre son inscription.

[dsl je suis enrhubé, j'ai pas trop d'insparation, et j'ai du mal a taper, je ferai mieux dés que possible]

[Pas de soucis Remet toi vite hein !]


La jeune iris le regarda se lever et ranger leurs collations, observant d'un oeil amusé Tatouille, il était mignon pour un rat. Elle songea à cela car plusieurs fois, par contraintes elle avait dû en manger deux ou trois, mais cela se produisait rarement, mais c'était ça ou mourir de faim dans une galerie...Bref, elle se leva et aida le jeune Redangel à ranger leur table.

Les bureaux,...Ils lui étaient complétement sortit de la tête, étant complétement rentré dans un nouveau monde grâce à Redangel, ils lui étaient sortit de l'esprit. Et puis, la nature distraite de Shadow y était également pour beaucoup. Elle se laissa vite distraire, par n'importe quoi et n'importe qui...Pourtant la jeune femme songea quelques instants à la direction à prendre puis déclara.

-"Je reviens dans deux secondes."

Elle le quitta pour rejoindre les tables du fond, où quelques trainards avaient décidés de terminer à une lenteur extrême leur repas. ce qui sera fort utile pour la jeune fille qui revint quelques instants plus tôt. Se retournant elle ne vit pas les jeunes gens observer avec un froncement de sourcils prononcer l'oiseau noir perché sur son épaule frêle. Ils semblaient à la fois indignés et incrédule, mais même si Shad' les aurait vu elle se serait contenter de sourire et de s'en aller comme prévu.

-"Ils m'ont dit tout droit puis on doit tourner à droite et c'est la deuxième porte à gauche." déclara-t-elle le sourire aux lèvres.

Shad' s'avança à la hauteur de redangel et d'un hochement de tête guida le jeune homme dans la bonne direction.

-"On y va."

Redangel sourit en regardant Iris s'éloigner. Il continua de ranger en se disant que derriére ses airs naifs et fenfantin cette jeune femme était des plus dégourdie. Il le fallait forcément pour vivre seul dans la rue

Finalement elle revint et lui avait terminer de débarasser la table.

"c'est toi le guide la miss."

[i]Puis il quittérent les lieux, ne laisant de leur passage que quelques plumes de corbeaux et des traces de pattes de rats dans la poussiére.

[je te laisse poster ailleur, ce message, trés court, est celui de transition ]